Charles de Courson, une fois terminées les auditions de la commission d'enquête, répond ce soir à la lettre publique que lui avait envoyée Moscovici. Il y répond tranquillement, posément, en argumentant.
http://lelab.europe1.fr/t/la-lettre-de-reponse-de-charles-de-courson-a-celle-de-pierre-moscovici-10269
Il persiste et signe: L'exécutif était informé très tôt. Le ministre Cahuzac était tenu au courant des demandes en cours à la Suisse. Ces demandes, telles qu'elles étaient rédigées, n'avaient pas (aucune?) de chances de révéler la vérité sur le compte de Cahuzac.
On nous a enfumés, quoi. Merci Charles de Courson, au moins votre lettre-réponse est claire. Le rapport de la commission le sera sans doute moins, le rapporteur Claeys y veillera.