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Portfolio 3 novembre 2019

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Le camp de migrants de Vathi, poudrière des îles grecques

Dans la ville de Vathi, sur l'île grecque de Samos, on compte autant de migrants vivant dans une extrême précarité, que d’habitants. 6000 réfugiés pour 6500 riverains. Le 14 octobre, le camp a pris feu. Les migrants, les locaux, les autorités du secteur alertent sur une catastrophe en cours, intenable. Deux peintures sur l'île de Samos, symbole de l’actuelle crise de l’accueil migratoire en Europe

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  1. Illustration 1
    © Elisa Perrigueur / Acrylique

    Incendie du camp de Vathi, le 14 octobre 2019 - - Après une rixe qui a opposé des Syriens et des Afghans, faisant deux blessés à l'arme blanche, un incendie volontaire a ravagé 700 "habitations", souvent des tentes abîmées ou des containers, dans le camp surpeuplé. 

    Pour aller plus loin : Sur l’île de Samos, une poudrière pour des milliers d’exilés confinés à l’entrée de l’UE (article)

  2. Illustration 2
    © Elisa Perrigueur / Encre de chine

    Samos vue du ciel - - Le détroit de Mycale qui sépare l'île grecque de la Turquie, au sud, est large de moins de 2 kilomètres. L'île abrite un "hotspot", centre d'identification des migrants, depuis 2016 et compte désormais 6000 migrants, pour 650 places dans le camp, d'après l'UNHCR.