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Tawani, ou at-Tuwani, est un petit village palestinien situé dans les collines du sud d'Hébron. En 1982, la colonie de Ma'on a été construite sur un côté de la route principale, la seule route praticable, entre At-Tuwani et Tuba. À la fin des années 1990, les Palestiniens qui empruntaient la route principale et les terres avoisinantes ont été de plus en plus attaqués par des colons violents.Ces attaques se poursuivent régulièrement aujourd'hui, 35 ans plus tard.
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Traces de chars sur une route de la vallée du Jourdain.
Près de 95 % de la vallée du Jourdain est classée en zone C (c'est-à-dire la zone sous contrôle militaire et civil israélien total, conformément aux accords d'Oslo de 1993), ce qui implique une série de restrictions de mouvement pour les Palestiniens, des arrestations arbitraires, des confiscations, des démolitions et des limitations d'accès à l'eau, à la terre, à l'électricité, à l'éducation et aux soins de santé.
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Manifestation du vendredi dans le village de Kafr Qaddum, un village palestinien du nord de la Cisjordanie, situé à 13 kilomètres à l'ouest de Nablus.
En 2003, l'armée israélienne a fermé l'entrée principale du village, qui le relie à Nablus, par un barrage routier permanent. De plus, un monticule de terre a été érigé un kilomètre avant le barrage, isolant une maison familiale et la rendant inaccessible aux véhicules. En 2010, après cinq ans d'attente, la justice israélienne a jugé le barrage routier illégal. Le tribunal a également déclaré la route « trop dangereuse pour être empruntée », de sorte qu'elle est restée bloquée.
Le barrage routier rend difficile l'accès aux terres agricoles, car il leur est interdit de conduire ; ils doivent donc marcher pour transporter leur matériel et leurs récoltes. Il rallonge également le trajet de quinze minutes vers Nablus à quarante minutes.
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Des Palestiniens arrivant sur les lieux d'une attaque par un colon israélien près de la clôture entourant la colonie de Kiryat Arba, observent la ville d'Al-Khali.
Kiryat Arba est une colonie israélienne, illégale au regard du droit international, située en Cisjordanie, à proximité de la ville palestinienne d’Al-Khalil. La colonie et considérée comme l'implantation la plus extrémiste des territoires occupés.
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Le village de Nilin en Cisjordanie est le théâtre d’affrontements violents entre armée israélienne ouvrant le feu à balles réelles et des manifestants munis de pierres.Un comité de Nilin de résistance contre le mur a même été créé. La population palestinienne fait bloc contre la confiscation de ses terres et l’édification dans son son village d’un mur de séparation dans la continuité des barrières de béton et de barbelés parcourant déjà la Cisjordanie.
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Faubourgs de Ramallah.
La ville est un chantier à ciel ouvert. La frénésie immobilière ne connaît pas de répit et la spéculation fait flamber les prix : le montant du mètre carré a triplé entre 2005 et 2010. La croissance de la demande de logements est de nature exponentielle. Mais l'offre reste très limitée : les contraintes administratives imposées par Israël sont très lourdes, l'État hébreu ne délivre les permis de construire qu'au compte-gouttes, et dans des zones très restreintes.
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Manifestation du vendredi dans le village de Kafr Qaddum, un village palestinien du nord de la Cisjordanie, situé à 13 kilomètres à l'ouest de Nablus.
En 2003, l'armée israélienne a fermé l'entrée principale du village, qui le relie à Nablus, par un barrage routier permanent. De plus, un monticule de terre a été érigé un kilomètre avant le barrage, isolant une maison familiale et la rendant inaccessible aux véhicules. En 2010, après cinq ans d'attente, la justice israélienne a jugé le barrage routier illégal. Le tribunal a également déclaré la route « trop dangereuse pour être empruntée », de sorte qu'elle est restée bloquée.
Le barrage routier rend difficile l'accès aux terres agricoles, car il leur est interdit de conduire ; ils doivent donc marcher pour transporter leur matériel et leurs récoltes. Il rallonge également le trajet de quinze minutes vers Nablus à quarante minutes.
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Au sud d'Hébron (Al-Khalil), aux abords du village de Yatta, un père et son fils palestiniens inspectent les terres de leur famille. Au-delà des collines, le mur de séparation. L'armée israélienne a démoli leur maison, située par erreur dans ce qu'Israël définit comme une zone de sécurité militaire.
La famille a d'abord décidé de rester sur ses terres, vivant dans une tente de fortune, puis a emménagé dans un conteneur fourni par l'OCHA (Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies). Cependant, l'armée israélienne a informé la famille que ce conteneur avait également été démoli.
Ce type d'opération est tout à fait normal, et les ordres de démolition de bâtiments palestiniens arrivent sans avertissement et souvent sans justification valable.
La même démolition aura lieu dans un avenir indéterminé, contraignant la famille à vivre dans une situation de stress constant.
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Au sud d'Hébron (Al-Khalil), aux abords du village de Yatta, un père et son fils palestiniens inspectent les terres de leur famille. Au-delà des collines, le mur de séparation. L'armée israélienne a démoli leur maison, située par erreur dans ce qu'Israël définit comme une zone de sécurité militaire.
La famille a d'abord décidé de rester sur ses terres, vivant dans une tente de fortune, puis a emménagé dans un conteneur fourni par l'OCHA (Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies). Cependant, l'armée israélienne a informé la famille que ce conteneur avait également été démoli.
Ce type d'opération est tout à fait normal, et les ordres de démolition de bâtiments palestiniens arrivent sans avertissement et souvent sans justification valable.
La même démolition aura lieu dans un avenir indéterminé, contraignant la famille à vivre dans une situation de stress constant.
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Au sud d'Hébron (Al-Khalil), aux abords du village de Yatta, un père et son fils palestiniens inspectent les terres de leur famille. Au-delà des collines, le mur de séparation. L'armée israélienne a démoli leur maison, située par erreur dans ce qu'Israël définit comme une zone de sécurité militaire.
La famille a d'abord décidé de rester sur ses terres, vivant dans une tente de fortune, puis a emménagé dans un conteneur fourni par l'OCHA (Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies). Cependant, l'armée israélienne a informé la famille que ce conteneur avait également été démoli.
Ce type d'opération est tout à fait normal, et les ordres de démolition de bâtiments palestiniens arrivent sans avertissement et souvent sans justification valable.
La même démolition aura lieu dans un avenir indéterminé, contraignant la famille à vivre dans une situation de stress constant.
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Portfolio 26 septembre 2025
SOUVENIR DE PALESTINE, la série de cartes postales censurées
La Palestine, une Riviera ? « La situation étant désespérée, tout devient possible », J. Cage. Déjà en 2012, Simone G. Colombo pouvait le constater. Photographe, il s’est détourné de ce pour quoi il était venu. Images furtives, sans avenir… L’humain s’est imposé au cœur du réel.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.