Outre ce reportage, alors que Monsieur STREIFF doit enfin comparaître et être jugé pour ses nombreux méfaits depuis 15 années, il semble utile de rappeler les limites des procédures disciplinaires, pourtant essentielles au respect de la déontologie des avocats :
" ... Aucune place n'étant accordée aux victimes dans les procédures disciplinaires diligentées par l'Ordre des Avocats à l'encontre de ses membres, - alors que j'ai personnellement porté les faits à la connaissance du Bâtonnier - je n'ai jamais eu accès au dossier. De sorte que Monsieur STREIFF a pu soutenir "sa" vérité sans être contredit, puisque le contradictoire n'était pas de mise. Situation qui explique, en partie du moins, la clémence dont a bénéficié Monsieur STREIFF de la part de ses pairs. Mais au-delà des discours qui ont pu être tenus dans le cadre de l'entre-soi que constitue la première instance disciplinaire, les faits sont tenaces ..."
Il appartient aux Instances disciplinaires et au parquet de Paris de mettre fin à cette mascarade d'un avocat indigne poursuivant inlassablement ses victimes, pignon sur les plus belles avenues de Paris.
Nous connaissons parfaitement l'épaisseur du carnet d'adresses de Monsieur STREIFF, et me concernant, pour partie son contenu. Devrai-je écrire mon histoire, additionnée des "péripéties judiciaires" rencontrées ces deux dernières années pour être entendue? A bon(s) entendeur(s) salut, je ne m'en priverai pas.
Nicole Boccador Hirigoyen
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.