Du 1 septembre 2011 au 20 juillet 2016
PARIS
L'AVOCAT YANN STREIFF SE VANTE D'ÊTRE PROTEGE ..... ; Disciplinaire / Sérénité retrouvée / Temps de justice / #haiku#avocats
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ABUS DE FAIBLESSE : Aff.Yann STREIFF : l'avocat passé maître dans l'art d'abuser sa clientèle : violation sans équivoque de la déontologie des avocats19 juil. 20
A l'intention de celles et ceux qui ne parviendraient pas à lire ce tableau : en voici les détails : il s'agit d'une pièce juridique, basée sur les preuves de la procédure en cours à l'encontre de l'avocat Yann STREIFF : Il semble opportun que chacun soit informé des réalités, tant au niveau de ce personnage, de l'image qu'il projette depuis 15 années sur la profession d'avocat, que sur la gravité des dangers qu'il fait encourir à la clientèle de cette corporation : je n'étais pas la première et ne serai pas la dernière.
Engagement de l'avocat STREIFF entre le 30/04/2011 et le 08/01/2012, soit : entre le décès de mon époux, et la disparition tragique de ma soeur :
Au delà de ces deux évènements tragiques, ce tableau évoque ma double tentative de suicide suivie d'une hospitalisation du 17 au 20 février 2012, les obsèques de ma soeur le 21 février 2012, une hospitalisation du 24 au 26 mai 2012, une nouvelle tentative de suicide et trois hospitalisations : du 5 au 8 septembre 2012, du 10 au 15 octobre 2012, et du 30 octobre au 3 novembre 2012. Une dernière hospitalisation du 12 au 16 février 2013 : différentes pathologies tant physiques que psychologiques : "dépression d'intensité sévère", "grande vulnérabilié évidente", service réanimation pour pathologie physique, extrême faiblesse générale, perte de poids considérable etc ...
C'est durant cette longue période d'épreuves que "mon avocat", l'avocat STREIFF s'est approprié l'assurance vie laissée par mon défunt mari :
- 350.000 euros "empruntés" tandis que nous recherchions le corps de notre soeur disparue en mer.
- 250.000 euros "empruntés (?) deux jours après l'enterrement de ma soeur et de ma première tentative de suicide, tout juste sortie de l'hôpital dans un état de faiblesse extrême et de totale détresse psychologique
- de nombreux retraits en espèces en faveur de Monsieur STREIFF figurent tout au long de ces deux années
- Tandis que cet avocat s'appropriait les biens et oeuvres d'art, jusqu'aux vêtements d'un défunt, mon époux Bernard HIRIGOYEN : "au titre d'honoraires" qu'il n'a jamais déduit
- En avril 2012, il me poussait à m'engager dans l'acquisition de parts de sa propriété Corse : acte notarié ... m'indiquant qu'il s'agissait d'un excellent placement qui me rapporterait 20.000 euros annuels .... je n'en ai jamais vu la couleur : c'était pourtant bien l'argument utilisé à Monsieur STREIFF pour lui permettre de renflouer une bien curieuse comptabilité.
- En juin 2012, il me faisait faire différents virements pour une somme de 108.000 euros, dans la mystérieuse comptabilité de la SCI SANTA CATALINA (sa résidence corse)
- En 2012, puis 2013, Monsieur STREIFF me soutirait encore un grand nombre de sommes afin de renflouer l'une de ses sociétés GINT, société aujourd'hui en liquidation : soit 200.000 euros.
- Le 21 décembre 2012, entre deux hospitalisations et après une tentative de suicide (octobre), Monsieur STREIFF me faisait signer en sa faveur un huitième acte auprès de son notaire particulier : ainsi il me dépouillait de 10% des actions d'une propriété familiale léguée par mon époux, sans aucune contrepartie que sa persuasion, son emprise et l'isolement dans lequel je me trouvais.
- Dans ces mêmes conditions, le 21 décembre 2012, Monsieur STREIFF me faisait signer, un deuxième acte, ratifiant l'augmentation des parts de sa propriété corse via des sommes qu'il m'avait fait verser, sans commune mesure avec les 30% qui m'ont été concédés; Monsieur STREIFF et son notaire ayant soigneusement organisé ces honteuses opérations à mon détriment.
- La liste est encore longue sur ce plan, du pillage organisé de l'assurance vie laissée par mon époux .... 90.000 euros ici ou 25.000 euros là .... tandis que cet insatiable avocat se permettait même d'émettre en sa faveur des sommes depuis mon propre chéquier ... ou de décider s'il me restait suffisamment d'argent me permettant de gérer les charges de l'année outre mes problèmes de santé (échanges instructifs sur le sujet), ce qui lui permettait d'exercer de telles pressions dont je ne parvenais à me dégager ... je n'étais pas en état de le faire!
A l'intention des membres du Conseil disciplinaire, en charge de mesurer la gravité de tels comportements de la part de l'un des leurs : le jour même de son jugement, en décembre 2015 : Monsieur STREIFF allait nantir ses parts de la SCI SANTA CATALINA, en faveur de son ami auquel il doit également des sommes astronomiques. Les décideurs de cette parodie de procédure disciplinaire consignent que "Monsieur STREIFF reconnait à l'audience son obligation à rembourser et qu'il reconnait également l'impossibilité dans laquelle il se trouve d'y procéder ..." : le jour même de cette audition, Monsieur STREIFF faisait en sorte de compliquer la saisie de ses biens officiels au détriment de ses nombreux créanciers.
CABINET DU GARDE DES SCEAUX : je reçois ce jour une correspondance relative à l'évocation de "l'affaire Yann STREIFF " indiquant : "Pour autant, s'agissant de la question plus générale de la procédure disciplinaire applicable aux avocats, une réflexion est actuellement menée par le ministère de la justice en lien avec le Conseil national des barreaux, afin de faire évoluer les textes vers une plus grande efficacité du dispositif dans un souci de protection des clients."
Comment les décideurs de ce conseil de discipline ont-ils pu avoir la faiblesse rendre un jugement aussi révoltant, relativement à un individu notoirement indigne de la profession et de la déontologie qui la régit?
Ce même jour : on me rapporte un "tweet" de Monsieur STREIFF, qui semble parfaitement satisfait de ces instances ordinales iniques, couvrant ses propres méfaits dans le cadre de "l'entre soi" des avocats, décideurs et Bâtonniers.
J'ai grande honte pour vous tous, qui cautionnez un semblable système, et maintenez ainsi en exercice les brebis galeuses de votre profession, dont les escroqueries, abus de confiance, abus de faiblesse se multiplient au fil des années.
Je remercie de tout coeur ceux qui me soutiennent dans mon combat pour la vérité, de façon parfois fugitive, ou plus ouvertement. Ces manifestations me laissent croire dans un avenir meilleur, celui de l'image réhabilité des avocats et de la magistrature. Cela passe "aussi" par la défense du client, et ne saurait en aucun cas se cantonner dans un corporatisme préjudiciable aux intérêts et à l'image de chacun d'entre vous.
Puisse ce message atteindre le plus grand nombre, et permettre à vos clients de vivre une relation de confiance retrouvée.
Nicole Boccador Hirigoyen
- Pour tous les clients de l'avocat STREIFF et pour les autres : voici l'assurance que jamais vous ne serez protégés des fautes les plus graves et récurrentes cette brebis galeuses sévissant depuis 15 années comme "avocat" : Bâtonniers, Conseil de l'ordre et procédure disciplinaire n'ont aucun scrupules à le laisser exercer .... :
- Tweets & réponses en date du 19/07/2016 :
- Yann Streiff @YStreiff Disciplinaire / Sérénité retrouvée / Temps de justice / #haiku #avocats
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Rédigé par
Nicole BOCCADOR-HIRIGOYEN