Agrandissement : Illustration 1
Du bitume et un comité d'accueil pour l'arrivée des brebis et des paysan.nes de la Confédération Paysanne de l'Hérault
Agrandissement : Illustration 2
Vers 11h, entre brebis et premiers soutiens à la mobilisation, on s'apprivoise
Agrandissement : Illustration 3
Une petite partie du troupeau a fait le déplacement, avec leur berger venu de Vendargues, et mène le début du rassemblement vers le centre ville
Agrandissement : Illustration 4
Déception sur les pavés qui mènent à l'Ecusson, la visite de la Préfecture leur est refusée
Agrandissement : Illustration 5
Pause barrière mobile pour tenir l'attente du rassemblement dans le parc du Peyrou
Agrandissement : Illustration 6
Ici des apiculteur.ices, des éleveur.ses, des maraiche.res, des vigneron.nes, des producteur.ices de plantes aromatiques, ...
Agrandissement : Illustration 7
Des amis de la Conf', des étudiants, des militants syndicaux d'autres secteurs, des associations et des habitant.es de la métropole parmi les soutiens
Agrandissement : Illustration 8
"Ce ne sont pas tant les normes le problème que la concurrence avec des producteurs toujours plus gros, et destructeurs du vivant"
Agrandissement : Illustration 9
Vers chez nous dans le nord de l'Hérault, c'est difficile de se mobiliser, on est souvent isolées, venir ici permet aussi de se rencontrer pour la suite
Agrandissement : Illustration 10
"Parmi les choses dont on ne parle pas, il y a aussi de nouveaux OGM qui ne font l'objet d'aucune norme, là il nous faudrait des normes pour le coup"
Agrandissement : Illustration 11
Pas les mêmes privilèges que la FNSEA, quelques porte drapeaux sont stoppés par des CRS devant le tribunal, une délégation de plusieurs syndiqués et soutiens a pu se rendre à la préfecture plus loin
Agrandissement : Illustration 12
Prises de paroles après l'entrevue avec une directrice de cabinet du préfet de l'Hérault
Agrandissement : Illustration 13
Amandine Mallants, éleveuse d'anesses et porte parole de la Confédération Paysanne de l'Hérault :
"Que l'on inscrive dans la loi que l'on n'a pas le droit d'acheter aux agriculteurs des produits en dessous du coup de production. On n'en veut pas aux agriculteurs de la FNSEA qui veulent moins de normes environnementales, ils sont pris à la gorge et crèvent de faim aussi. S'il y avait des prix, les normes environnementales se feraient plus facilement"
"Aussi, pour ceux qui veulent arrêter, on a droit au répit, et pour ça il faut des droits au chômage, des droits à la formation et l'épurement des dettes!"
Agrandissement : Illustration 14
"Deuxième revendication, il faut qu'on arrête ces accords de libre échange et il faut remettre des taxes aux frontières"
"Avec le Mercosur, actuellement il y a 45% de taxes sur le boeuf [étranger] qui est tout de même moins cher que le notre, si on enlève ces taxes, on imagine la galère pour nos producteurs, pareil pour d'autres produits comme le miel"
Agrandissement : Illustration 15
"A la Conf' on se distingue, on n'a pas des gros tracteurs, on a des brebis, on a des apiculteurs, on a des maraîchers, on a plein de petits paysans qui crèvent de cette politique, et qui vont crever de ce que la FNSEA est en train de négocier"
Agrandissement : Illustration 16
"Si la préfecture ne veut pas nous recevoir, je pense qu'il faut qu'on obtienne ce rendez vous par un rapport de force, à mon avis il faut qu'on aille bloquer les centrales d'achat"
Portfolio 1 février 2024
À Montpellier, autres paysanneries, autres ambiances de lutte
Au syndicat de la Confédération paysanne « on n'a pas de gros tracteurs, mais on a des brebis ! ». À Montpellier, plus d'une centaine de personnes sont venues écouter les voix paysannes des environs qui défendent la nécessité d'autres modèles agricoles, pour tenir ensemble revenu digne, droits et autonomie des paysan·nes et travail avec le vivant.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.