Alexis Marsan, haut gradé de la préfecture de police déjà mis en cause pour sa gestion violente du maintien de l’ordre notamment lors de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, est accusé d’avoir agressé un cycliste alors qu’il circulait sur une moto banalisée mi-mars à Paris. La vidéosurveillance n’a jamais été exploitée, et la plainte orientée vers le mauvais service. Une enquête a été confiée à l’IGPN lundi 4 juillet.
Le conseil régional d’Île-de-France a rejeté un amendement exigeant la suspension des subventions vers le lycée Stanislas après les révélations de Mediapart sur ses dérives. La gauche régionale saisit le ministère de l’éducation nationale pour qu’une enquête sur l’établissement catholique soit ouverte.
À la suite d’un nouveau scandale, le premier ministre britannique a annoncé jeudi sa démission après une cinquantaine de départs dans son gouvernement. Il a tenté de résister jusqu’au bout, mais la pression de son parti a été plus forte.
Même quand leur dossier est complet, certains assurés commencent à toucher leur retraite avec des mois de retard, les obligeant à demander le RSA. L’assurance-vieillesse conteste toute situation anormale, mais le Covid et deux transformations récentes pourraient avoir ralenti le système.
Détruire un espace maraîcher, de verger et de champs cultivés pour bétonner est le projet du maire d'Orcet qui inquiète sa population enfin au parfum grâce à l'action du collectif StopUrba63 appuyé par ANV-COP21, organisateurs de la manifestation réussie du 4 juillet dans le bourg. Il est plus que temps pour ses habitants de refuser cette bétonisation qui va en détruire un joyau précieux.
« Si nous nous positionnons aux côtés des Lentillères et de la ZEC, c’est pour ce qu’elles augurent de vraies bifurcations, loin des récits biaisés d’une transformation urbaine encore incapable de s’émanciper des logiques délétères de croissance, d’extractivisme et de marchandisation. » Des architectes, urbanistes, batisseurs, batisseuses publient une tribune de soutien aux habitants et habitantes du Quartier libre des Lentillères à Dijon.
Depuis le 2 avril dernier : les 45 habitants et les 27 collectifs qui occupent l’ancienne usine depuis septembre 2020 sont expulsables manu militari sans médiation, sans délai, ni solution de secours. Cette occupation multiforme et créative permet pourtant de maintenir ouvert un débat public indispensable sur la dépollution de ce site et son avenir.
En entrant à l’Assemblée, Marine Le Pen a déclaré « c’est pas une ZAD ici ! ». Face à l’effondrement en cours du système Terre, et à l’absence de réponse à la hauteur de la part du monde politique, un collectif de militante·s, responsables et élue·s écologistes appellent à la désobéissance civile. Ils et elles enjoignent à créer « toutes les ZAD nécessaires, pourvu qu’elles nous incitent à nous réveiller collectivement » : « Devenons des Zadistes de la République ! »