Le mardi 24 avril 2018, la forte tempête tropicale Fakir à surpris La Réunion. D'autant plus surprenante, car elle marquait la fin administrative de la période cyclonique sur l'Île. Un passage éclair qui a eu le temps de tuer deux personnes sous une coulé de boue et de provoquer de nombreux dégâts. De nombreux habitats, le réseau routier, l'électricité, ainsi que celui de l'alimentation en eau potable ont été endommagé et les écoles ont été fermé presque deux semaines pour certaines.

Au petit matin, les locataires découvrent avec étonnement l'étendue des dégâts.

Tout le rez de chaussée a été inondé et des arbres arrachés par la force du vent.

La limitation de vitesse n'a jamais été aussi bien respecté...

La bétonnisation excessive ainsi qu'une monoculture longue et intensive ont pour effet la stérilisation de la terre qui n'arrive plus à absorber correctement les eaux abondantes. Ces intempéries ont pour effet d'entraîner la dégradation des réseaux routiers qui devient inévitable et coûteux.

Les secours s'activent afin d'évaluer et d'intervenir au plus vite.

Avec le rapport inquiètant du GIEC, il est urgent de prendre acte et conscience des bouleversements climatiques qui ne feront que s'accélérer et s'intensifier.

Ça me rappelle la fable de Jean de la Fontaine "le Chêne et le roseau".

Heureusement que je n'avais pas d'auto !

Avec la montée des eaux et les phénomènes intenses prévus, il est urgent de délocaliser les habitations en bordure de mer au risque de les voir engloutis.

Protéger la population est Urgent !

Quand l'eau des rivières gagnent la mer.