Jacqueline Sauvage,
La très longue lettre publiée dans Le Monde de l’avocat général Frédéric Chevalier n’est que le reflet d’un obscurantisme judiciaire destiné à ne pas mettre en avant sa propre responsabilité dans cette triste affaire ! Sa responsabilité comme Procureur ou plutôt celle d’un état voyou qui place les Citoyens sous « camisole chimique ».
En effet, d’après le réalisateur qui n’a certainement pas trahi la vérité, Madame Jacqueline Sauvage était au moment des faits sous l’empire de la drogue.
Drogue légale ordonnée par des médecins inconscients, souvent eux même sous l’empire des Benzodiazépines avec un taux de suicide très élevé dans le corps médical favorisé par ces pilules.
Comme Isabelle Servier, Jacqueline Sauvagea tué son mari sous l’empire d’un psychotrope qui a favorisé son passage à l’acte, Isabelle Servier avait écopé de 4 ans de prison ferme, Jacqueline Sauvage 10 ans, pourquoi une telle différence de quantum ?
Pourquoi l’avocat général Chevalier protège-t-il ainsi les multinationales de la pharmacie et l’État qu’il représente, la réponse, en psychiatrie, se trouve certainement dans la longueur de son exposé pour sa défense au Journal Le Monde.