Malgré L'accident survenu le 31 juillet 1982 sur l'autoroute A6 près de Beaune, en Côte-d'Or. Accident routier le plus meurtrier en France à ce jour, il a fait 53 morts dont 44 enfants et adolescents âgés de 6 à 15 ans. La plupart des victimes se trouvaient à bord d'un autocar qui a pris feu à la suite de l'accident et étaient originaires de la commune de Crépy-en-Valois dans l'Oise.
44 enfants brulés vifs, auraient du interpeler la délégation Interministérielle à la Sécurité Routière et aussi le Ministre des transports Charles Fiterman (communiste), malheureusement, il n’en a rien été ces accidents continuent comme plus récemment à Puisseguin avec une cinquantaine de morts également brulés vifs.
Les anxiolytiques Alcool, mais aussi les « tranquillisants et les somnifères » Anxiolytiques à base de Benzodiazépines sont impliqués dans la plupart de ces catastrophes.
L’AAAVAM a longtemps demandé que des mesures de prévention soient mises en place, mais n’a obtenu que des « pictogrammes » sur les boîtes de ces drogues légales, en 2016, 35 ans après l’accident de Beaune, toujours aucune analyse toxicologique, aucun contrôle routier, les fonctionnaires responsables sont parfaitement au courant mais ils restent dans le silence.
L’AAAVAM réclame des mesures de prévention, des contrôles aléatoires des drogues légales et illégales, les services de Police et de la Gendarmerie sont en mesure de faire ces contrôles.
Pour les conducteurs de CARS, de camions, mais aussi pour les personnels navigant des compagnies d’aviation, des contrôles réguliers, comme pour la SNCF tous les 6 mois, avec interdiction de conduire ou de piloter sous l’empire de ces drogues, sont indispensables
Tous responsables et coupables, même les Associations de lutte contre la violence routière (à l’exception de la Prévention Routière), sont bien silencieuses sur ce sujet.