COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Un « Crime sous tranquillisants », suivi du suicide du meurtrier vient de se produire et de traumatiser les personnels de l‘Hôpital Ambroise Paré à Boulogne Billancourt dans les Hauts de Seine. Il s’agissait d’un couple âgé qui avait déjà fait une tentative de suicide sous l’empire des psychotropes.
Cette tentative avait échoué, car les autolyses par « poly intoxications médicamenteuses » avec des « tranquillisants ou des somnifères » de la classe des anxiolytiques à base de Benzodiazépines sont difficiles, ces « T.S. » conduisent en cas d’absorbions massives de ces psychotropes à un coma souvent réversible.
Paradoxe, ces anxiolytiques (tranquillisants ou somnifères » réservés à des cas d’anxiétés sévères ou des insomnies passagères sont ordonnés sans retenue par des médecins incapables depuis plus d’un demi siècle de respecter les autorisations de mise sur le marché.
Ces prescripteurs sont bercés grâce à des études biaisées leur laissant croire en l’innocuité des ces « drogues légales » pourtant inscrites au tableau des substances vénéneuses.
Les tranquillisants et les somnifères à base de Benzodiazépines ne doivent pas être ordonnées à des « patients » suicidaires, dépressifs ou psychotiques, par des prescriptions répétées les médecins deviennent de véritables « dealeurs » ils doivent être lourdement sanctionnés.
Dernières minutes, quelques jours après le suicide d’une policière au commissariat de Bastia, un nouveau drame impliquant encore une femme policière vient de se produire en région parisienne. Les Alertes que nous ne cessons de diffuser depuis plus de 23 ans restent sans effets face à la corruption politique qui gangrène la France.
Georges Alexandre Imbert
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