Eva JOLY ! Accent sur le I de Intégrité ! Accent sur le I de Inculpation !
BWANA BESSON Le Point sur un Con Citoyen !
Le billet de Patrick Besson Publié le 01/12/2011 à 17:42
Avec « Eva Joly, présidente de la République »
Toi vouloir faire dents blanches comme Bamboula content ?
Yé BWANA ! Toi faire planche sur air du temps des colonies !
Mon cousin lire commentaires,
Beaucoup têtes zoreilles comme Bwana soutenir derrière vous !
Y’en a dire BWANA avoir droit parler et rire sans chaînes qui attachent cerveau !
Grand Bwana avoir éclairé grande face de style comme parler Paris !
Moi aussi, vouloir danser raconter histoire, pas histoire toi ! Trop civilisé !
Grande Madame Jane BIRKIN y’en a dire publicité yeux mauvais :
« Avant j’avais un accent épouvantable… »
Alors moi, inspiré par africain papier vous, essayer rire plus malin que cousin Bonobo !
« Avant j’avais un accent épouvantable. Aujourd’hui je CRISSE ! »
Là, Imperator être content, croire Madame BIRKIN maintenant intégrée !
Les yeux de verre, grande magie blanche !
Mais vous quand rire accent Madame Joly, moi envie partir cachette brousse !
Moi sentir arriver marchands bamboulas pour Amérique !
Mon cousin avec costume cravate dire vous pas savoir distinguer premier et second degré !
Vous comme soldats colonie, pas sommation !
Grand Bwana BESSON vous serpent malin comme cousin la Fouine !
Après Grand Chef Casque Colonial mettre cartouche, vous y’en a tiré !
Et toi permettre Grand Chef Casque Colonial y’en a défilé avec gant blanc propre !
Alors moi dire vous, devant Sorcier grand Témoin !
Quand grands Blancs venus du Nord dans Drakkars,
Quand ancêtres vous y’en entendre accent grands guerriers, caca dans culottes!
Vous y’en chercher druides pour médicaments danger partir !
Vous cacher femmes enfants et récoltes, vous passer mauvaises saisons trembler cauchemars !
Vous zoreilles y’en a savoir que dans Drakkars pas accents prière vœu de chasteté !
Pas besoin accent du terroir, pour ancêtres vous comprendre hommes étrangers !
Mais Vous grand ingrat !
Hommes Drakkars grands et beaux ! Vous sauvages moches et petits !
Et aujourd’hui avec tous guerriers aimer voyages en France,
Vous aujourd’hui grands et beaux !
Et ça le Bon Bwana qui fait mélanges dans petits verres et qui voit monde toi pas voir, m’a dit tout sur famille Bwana dans le grand arbre !
Toi y’en a beaucoup papas beaucoup mamans, secrets famille cachés enfants école !
Toi-même avoir bamboula parent, avec premier accent bonobo debout malin !
Grand malheur Toi petit Bwana pas sortir dimanche voir monde terre, entendre bruits femmes hommes enfants parler, crier, aimer, haïr, consoler…
Ah ! Moi souhait Bwana avoir syndrome de l’accent !
Alors moi sacrifier cauris, partir dentiste pour faire dents blanches Bamboula
Et me foutre de ta gueule BBR !
EVA JOLY PRESIDENTE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE !
Le bel accent pour « inculper » toutes les ordures de cette République trahie !
Le bel accent d’une magistrature porteuse des mandats républicains et laïcs de justice de liberté de solidarité et d’égalité de tous les citoyens !
Le chœur communard aux accents libérés de la Cour de Paris, la belle danse populaire des accents du midi du nord du centre de l’est et de l’ouest des monts et des vallées !
Les accents d’au-delà des mers et des océans, les accents des diversités aux fondements universels !
Ces accents graves ou aigus de nos régions culturellement chassées des antennes vocales de nos médiacraties parisiennes !
Ah si BESSON était Verdi !
Ah si BESSON avait enregistré les voix de nos reines de France !
Ah si BESSON avait écouté Buonaparte ! Clovis ! Vercingétorix…
Notre Impératrice d’Italie ! Notre Dame de Galles de Matignon !
Ah si BESSON avait l’intelligence d’imaginer que pour le Bamboula lui le Bwana avait un accent de Bwana de Guyane envoyé aux colonies !
Quand Eva Joly disait au grand constitutionnaliste de France « Tes chaussures sont chères ! »
Le grand Bwana avait saisi la valeur de l’accent sur le I de l’INCULPATION qui suivait !
Et beaucoup comme lui font encore des cauchemars :
« Les vikings du pôle financier arrivent ! »
On entend au loin le CRISSEMENT de leurs drakkars sur nos galets terrifiés !
Ah ! Dire que BESSON ne dit mot sur les accents du terrorisme intellectuel des banksters putshistes : TINA ! TINA ! TINA ! Arbeit !Arbeit ! Arbeit !
Une voix du Drakkar : Burn out ! Burn out ! Burn out !
Quelle belle approche des langues terriennes ! Les trésors du nomadisme socioculturel !
Eva JOLY PRESIDENTE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE !
Vous comprendre Bwana BESSON, Madame la Présidente par respect pour les institutions de la République dont elle est la garante, pas pouvoir répondre direct vous !
Madame JOLY trop classe du peuple des travailleurs proprement sales !
Trop grand Chevalier pour accepter duel contre Coq de basse cour !
Mais moi bamboula avoir accent pour dire à toi « Casse-toi pauv’con citoyen !»
Le texte de la Déclaration de Paris
Œuvre de Bamboulas Spartakistes aux accents Titi !
Accent sur le I de Intégrité !
Accent sur le I de Inculpation !
La Déclaration de Paris
Nous, signataires de cet appel, venus du Nord et du Sud, de l’Est et de l’Ouest, nous dénonçons les effets dévastateurs de la grande corruption, avec son corollaire, l’impunité.
L’explosion des marchés ouverts a favorisé des pratiques de prélèvements, de commissions et de rétro-commissions, qui se sont développées de manière inquiétante au point d’envahir des secteurs entiers de l’économie. Les activités les plus sensibles sont l’énergie, les grands travaux, l’armement, l’aéronautique et l’exploitation des ressources minières. Sur ces marchés d’intérêt national, quelques grandes sociétés ont intégré la corruption comme un moyen d’action privilégiée. Ainsi, plusieurs milliers de décisionnaires à travers le monde échappent à tout contrôle. La grande corruption bénéficie de la complicité de banques occidentales. Elle utilise le circuit des sociétés off shores. Elle profite de la soixantaine de territoires ou d’Etats qui lui servent d’abri.
La grande corruption est une injustice. Elle provoque une ponction de richesses dans les pays du Sud et de l’Est. Elle favorise la constitution de caisses noires ou de rémunérations parallèles à la tête des grandes entreprises. Elle rompt la confiance nécessaire à la vie économique. Parce qu’elle a atteint parfois le cœur du pouvoir, la grande corruption mine les vieilles démocraties occidentales. Elle entrave le développement des pays pauvres et leur liberté politique.
Alors que la globalisation a permis la libre circulation des capitaux, les justices financières restent tenues par des frontières qui n’existent plus pour les délinquants. La souveraineté de certains Etats bancaires protège, de manière délibérée, l’opacité des flux criminels. Logiquement, les bénéficiaires de la grande corruption ne font rien pour améliorer la situation.
Il convient de tirer les conséquences de cette inégalité devant la loi dont profite la grande corruption. Il est indispensable de rétablir les grands équilibres de nos démocraties. Plutôt que d’espérer une vaine réforme de ces Etats, il est possible d’inventer de nouvelles règles pour nous-mêmes. A un changement de monde, doit correspondre un changement de règles.
Aussi nous demandons :
1. Pour faciliter les enquêtes :
La suspension des immunités diplomatiques, parlementaires et judiciaires le temps des enquêtes financières (le renvoi devant un tribunal restant soumis à un vote sur la levée de l’immunité).
La suppression des possibilités de recours dilatoires contre la transmission de preuves aux juridictions étrangères.
L’interdiction faite aux banques d’ouvrir des filiales ou d’accepter des fonds provenant d’établissements installés dans des pays ou des territoires qui refusent, ou appliquent de manière purement virtuelle, la coopération judiciaire internationale.
L’obligation faite à tous les systèmes de transferts de fonds ou de valeurs, ainsi qu’aux chambres de compensations internationales d’organiser une traçabilité totale des flux financiers, comportant l’identification précise des bénéficiaires et des donneurs d’ordre, de telle manière qu’en cas d’enquête pénale, les autorités judiciaires puissent remonter l’ensemble des opérations suspectes.
2. Pour juger effectivement les délinquants :
L’obligation légale faite aux dirigeants politiquement exposés de justifier de l’origine licite leur fortune. Si celle-ci ne peut être prouvée, elle pourra faire l’objet d’une “confiscation civile”.
La création d’un crime de “grande corruption”, passible d’une peine similaire à celles prévues contre les atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation.
3. Pour prévenir la grande corruption :
L’obligation faite aux sociétés cotées de déclarer dans leurs comptes consolidés, pays par pays, les revenus nets (impôts, royalties, dividendes, bonus, etc.), qu’elles payent aux gouvernements et aux sociétés publiques des pays dans lesquels elles opèrent.
la compétence donnée à la Justice du pays où est établi le siège social des sociétés multinationales lorsqu’une de leurs filiales à l’étranger est suspectée d’un délit de corruption, et que le pays ou est commis le délit ne peut pas, ou ne souhaite pas, poursuivre l’affaire.
La mise en place d’une veille bancaire autour de dirigeants politiquement exposés et de leur entourage. Par dirigeants politiquement exposés, nous entendons les hommes et les femmes occupants des postes stratégiques au gouvernement, dans la haute administration et à la direction générale des entreprises privées intervenants dans les secteurs “à risque”.
Les portefeuilles de titres et les comptes bancaires, des dirigeants politiquement exposés ainsi que ceux de leurs famille proche, ouverts dans leur pays où à l’étranger, sera soumis à une procédure d’alerte lors de tout mouvement important, avec l’instauration d’une obligation pénale de signalement pour les cadres bancaires et les gestionnaires de titres.
Combattre la grande corruption est un préalable à toute action politique authentique. Nous devons restaurer la confiance dans les élites politiques et économiques. A l’heure de la globalisation, la responsabilité de ceux qui nous dirigent est immense. Elle doit échapper au soupçon, pour permettre l’espoir.