Une nuit, il y a 81 ans, un homme d’extrême droite se débarrassait de la branche la plus véhémente de son parti , dirigée par l’un de ses ami, afin de s’acheter une respectabilité, et ainsi apparaître comme plus modéré aux yeux du peuple et des autres dirigeants politique.
L’homme c’était Adolf Hitler, le parti, les Nazis, l’ami, Ernst Röhm, la nuit restera connue comme celle des longs couteaux, la suite ? On la connait.
Peut-on s’empêcher de penser qu’i y a certaines similitude avec le psychodrame familiale que vit le Front National ces jours-ci.
N’est-ce pas des plus arrangeants à 2 ans de l’échéance des élections présidentielle, d’apparaître, pour la future candidate, comme étant plus modérée ?
Certes, la violence et les crimes nazis n’ont rien à voir avec le rejet du membre fondateur Front National. Mais les intentions et les résultats escomptés ne sont-ils pas identiques ?
Pour paraître raisonnable, il suffit parfois de montrer qu’il y a plus fou que soit.