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Billet de blog 23 septembre 2025

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La médecine en Centre Médical de Référence à Mayotte. Chronique d'un grand écart

Le médecin qui séjourne à Mayotte pour y travailler dans un Centre Médical de Référence est confronté à un grand nombre de problèmes qui le dépassent totalement. Sur le plan des moyens mis en œuvre dans son exercice professionnel, il se trouve face  à un manque crucial de moyens matériels et humains qui entrave largement sa façon de travailler. Témoignage.

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Un rappel sur l’organisation des soins à Mayotte est nécessaire.

La médecine libérale est y très peu développée. La prise en charge des patients est donc essentiellement du ressort de l’hôpital.

Le Centre hospitalier de Mayotte (CHM) comprend le site principal à Mamoudzou qui comporte un plateau technique assez complet. Les consultations spécialisées y sont nombreuses mais elles varient en fonction des intervenants qui ne sont pas toujours présents sur le site, compte tenu de la difficulté de recrutement de médecins spécialistes.

Le CHM comprend aussi un service d’accueil des urgences, un SAMU[1]  et des antennes SMUR[2]

Il existe quatre centres médicaux  de référence (CMR) répartis sur l’île qui assurent principalement les consultations de médecine générale, les soins relevant de la petite chirurgie, certains actes comme la pose d’implants, une Permanence De Soins (PDS) pour les urgences en partenariat avec le SAMU. Il est ainsi possible de stabiliser des patients en attente de transferts.

Dans tous les CMR, la pharmacie de la permanence de soins permet de trouver les produits essentiels à la prise en charge des urgences, y compris les urgences vitales. Il est possible de prendre en charge tout type d’urgence, comme dans toute salle d’urgence, sachant que les médecins travaillant en CMR ne sont pas des médecins urgentistes.

Si la maternité de Mamoudzou est considérée comme la plus grande maternité de France, il ne faut pas oublier les maternités dont certaines ont récemment fermé leurs portes faute de personnel. Elles proposent depuis, uniquement des consultations avec les sages-femmes. Il arrive que certaines mamans accouchent à domicile, ou encore dans les ambulances pendant leurs transferts, mais aussi en CMR. Des situations qui mettent en danger les mamans, et les soignants, en grande difficulté.

Par ailleurs, il faut savoir que nombreux sont les patients qui ne sont pas assurés sociaux et qui doivent régler 10 euros pour chaque consultation (15 euros la nuit) ce qui leur donne droit à la gratuité de leur traitement s’ils peuvent le prendre à la pharmacie des CMR, ainsi qu’à la gratuité des bilans biologiques et des pansements.

Le médecin qui séjourne à Mayotte pour y travailler dans un Centre Médical de Référence est confronté à un grand nombre de problèmes qui le dépassent totalement. Sur le plan des moyens mis en œuvre dans son exercice professionnel, il se trouve face  à un manque crucial de moyens matériels et humains qui entrave largement sa façon de travailler.

Les besoins matériels.

Ils  vont des produits courants  nécessaires à l’hygiène élémentaire dans un centre de soin au petit matériel médical, jusqu’aux différents tests diagnostiques nécessaires à la prise en charge des patients. De l’examen du patient à sa prise en charge, le médecin se retrouve donc souvent face à  un  véritable  casse-tête quant à ce qui lui est possible d’envisager comme prise en charge immédiate, que ce soit en termes de diagnostic ou en termes de traitement.

Le manque de matériel est dramatique, particulièrement depuis le passage du cyclone durant le  mois de décembre 2024. Des mois se sont écoulés depuis  dénonçant  une  situation de plus en plus préoccupante au point de mettre en péril le bon fonctionnement de certains CMR.  Les containers fracassés lors du passage de  Chido[3]  ont bon dos et on peut se demander si le pillage récent d’un des magasins de la réserve du CHM  peut expliquer à lui seul la pénurie actuelle.  Pour autant, il faut signaler que les containers venant de DubaÏ ou de Chine avec des matériaux de construction arrivent tous les jours depuis des mois  au port de Longoni[4]

Quoiqu’il en soit, avant le passage de Chido, le matériel médical et paramédical courant n’était déjà pas toujours à la hauteur des besoins.

En ce qui concerne cette dernière  question, la liste n’est pas exhaustive.

Pour un dispensaire comportant trois salles de consultation et une permanence de soins, une salle à pansements ainsi qu’une salle à prélèvements (soit 150 passages par jour minimum) : deux  DYNAMAP[5], deux thermomètres qui sont parfois introuvables, deux balances bébé et une balance adulte (plus ou moins fonctionnelles selon l’état des piles qui, elles aussi, ne sont pas faciles à trouver dans un tel établissement), deux appareils à DEXTRO[6]  fonctionnels qui sont cantonnés dans la salle de prélèvements. Un seul appareil portable pour scopper[7] les patients en difficulté… Heureusement, plusieurs otoscopes, normalement un pour chaque bureau médical, mais qui sont souvent introuvables ou sans pile pour fonctionner.

Cela fait des mois que les essuie-tout sont devenus des denrées rares. Il en est de même du papier toilette, des pots à urine, des verres à usage unique, des bouteilles d’eau et  des abaisses langues. Sans parler des toilettes qui se bouchent parfois dans le service de permanence de soins et qui obligent les patients à aller faire leurs besoins dans les toilettes extérieures aux bâtiments.

Faute d’essuie-tout, s’essuyer les mains sur son pantalon est devenu chose courante. 

Quant au manque de papier toilette, chacun fait comme il peut.

A noter d’ailleurs qu’une grosse partie de la pénurie décrite ci-dessus touche pour beaucoup du matériel d’hygiène d’usage courant et les médicaments des pharmacies familiales utilisés dans les ménages mahorais aisés.

Le manque de flacons à urine rend impossible les analyses d’urine par bandelettes urinaires, les ECBU[8]  ou encore les tests de grossesse. Encore faut-il qu’il y ait des réactifs et que le lecteur de bandelettes soit fonctionnel ce qui n’est pas toujours le cas. Si par chance, il est possible de trouver quelques flacons à urine, ils sont parfois  utilisés comme des verres à usage unique pour donner de l’eau ou des traitements oraux aux patients. En effet, en pleine épidémie de gastro entérite, les soignants sont amenés à donner aux patients des traitements oraux dans des verres en plastique (fournis le plus souvent par le personnel soignant) qui sont nettoyés à la va-vite après chaque usage, et encore, pas toujours…

Dans certains CMR, les abaisse-langues se sont faits absents durant plusieurs mois et sont devenus une denrée rare au point qu’il a été  impossible d’examiner la gorge d’un enfant jusqu’à il y a peu de temps. Certains  médecins ont été obligés d’investir dans des couverts en bois pour remplacer les abaisses langues introuvables.

Toujours, en pleine épidémie de GEA[9] , les sachets de SRO[10]  se font absents ou très rares, parfois ils disparaissent étrangement en quelques heures, devenant particulièrement précieux au point de rendre impossible la  réhydratation per os des enfants déshydratés.

Les sachets de SRO ne sont pas les seuls concernés par la pénurie ou le manque d’approvisionnement. Certaines gardes de WE commencent sans stock de DOLIPRANE et sans possibilité de donner les antibiotiques habituellement utilisés à Mayotte.

Dans le même registre, en pleine épidémie de paludisme, les médecins sont confrontés également aux difficultés à obtenir des tests de dépistage du paludisme[11]. Le ravitaillement en RIAMET[12]  se fait lui aussi au compte-gouttes alors que le traitement doit être fourni directement et immédiatement au patient qui est impaludé. 

Pour ce qui concerne le matériel plus spécialisé, les médecins ne peuvent pas toujours réaliser les examens nécessaires aux diagnostics. Trop souvent, ils sont confrontés à un manque de réactifs. Cétonémie[13] parfois impossible à réaliser en  PDS[14] alors que nombreux sont les patients diabétiques amenés en urgence en situation critique par rupture de traitement. Dysfonctionnement de l’appareil. Manque de réapprovisionnement des bandelettes réactives.

Il en est de même, beaucoup trop souvent pour ce qui concerne les gaz du sang[15] , mais aussi  le dosage rapide des enzymes cardiaques permettant d’évaluer soit une insuffisance cardiaque, soit un doute sur un infarctus, soit une embolie pulmonaire : les « cassettes » qui permettent de délivrer les résultats biologiques sont parfois manquantes.

Il ne faut pas oublier le manque de tenues hospitalières disponibles pour les soignants qui sont dans l’obligation de les ramener à leur domicile pour les laver chaque jour afin d’être sûrs d’avoir une tenue pour travailler en arrivant le matin.  Sans compter le manque de draps pour les patients qui se retrouvent à passer des heures à transpirer sur du papier en rouleau tellement fin qu’il se déchire au moindre mouvement, ne recouvrant même pas la totalité du brancard ou du lit d’urgence.

Dans certains dispensaires, la pharmacie  n’est ouverte qu’une semaine sur deux. Les patients qui n’ont pas les moyens d’aller en pharmacie de ville sont dans l’obligation d’attendre parfois une semaine avant de pouvoir se procurer leur traitement. C’est ainsi que les patients reviennent en consultation pour des pathologies pour lesquelles ils ont déjà consulté mais qui  se sont aggravées car elles n’ont pas été traitées.  Cette situation met en danger les patients ayant des traitements au long cours qu’il leur est impossible de suivre s’ils sont en situation précaire, attendant plusieurs jours l’ouverture de la pharmacie pour des traitements antihypertenseurs ou anticoagulants qui leurs sont indispensables. Par ailleurs, lorsque la pharmacie ouvre au bout d’une semaine, les préparatrices sont débordées par le nombre de prescriptions qui leur arrivent, sachant qu’elles ont parfois un quota de dossiers à respecter par jour qui ne leur permet pas de répondre à toutes les prescriptions en attente auxquelles s’ajoutent  les prescriptions du jour.

Les problèmes rencontrés ne sont pas que des problèmes d’approvisionnement en matériel, ce sont des problèmes humains et organisationnels.

Il en est ainsi des difficultés pour le patient et les médecins à récupérer des résultats d’examens, notamment les imageries et  leur interprétation. Le médecin peut passer des heures à tenter de contacter les secrétariats de l’hôpital  pour des comptes rendus qui n’arrivent parfois jamais dans le dossier informatique du patient. Radios, IRM, scanners, échographies. Pour ce qui concerne les radios simples, l’IA[16] fait parfois son travail et le CR[17]  apparait avec les images. C’est très récent. Et bien heureusement, certains CMR se voient récemment équipés d’un appareil à radio efficace  avec des interprétations immédiates par IA. Pour les autres examens d’imagerie plus complexes au niveau des interprétations, c’est nettement plus compliqué.  Tantôt l’examen qui a été réalisé à l’hôpital de Mamoudzou n’est pas encore interprété, tantôt  le compte-rendu n’a pas encore été validé, et parfois, il ne le sera jamais.

Les médecins peuvent fournir un certain nombre d’exemples.

Voici le cas d’un patient qui vient récupérer les résultats de son échographie passée à Mamoudzou une semaine auparavant. Les images sont dans le dossier mais absence de compte rendu. Le médecin passe trois quart-d’heure à essayer de contacter le secrétariat pour s’entendre dire que le compte-rendu n’a pas encore été rédigé ou signé. Il le sera dans quelques jours. Le médecin regarde tous les jours si le CR arrive dans le dossier du patient. Non. Il rappelle le secrétariat. Pas de réponse. Il rappelle encore. Cela va être fait. 15 jours ont passé. Le médecin retourne sur le dossier du patient. Toujours pas de Compte-rendu. Que de temps et d’énergie perdus, pour le médecin et pour le patient ! Pour le médecin, on peut dire que cela fait partie de son travail, mais ce n’est pas pour autant normal d’en arriver là, surtout dans un contexte de consultations où la pression se chronomètre à 25 patients (parfois avec des dossiers  complexes) à consulter de 7h le matin jusqu’à 13h. Il faut savoir aussi  que ce travail pourrait être réalisé par un(e) secrétaire dont ce serait  quand même le rôle. Pour le patient en situation précaire, sans assurance sociale,  qui a réglé 10 euros  pour une consultation et qui s’est déplacé en taxi à Mamoudzou pour l’examen, non seulement celui-ci  a passé des heures pour être consulté une première fois, non seulement il a attendu des jours et de jours pour avoir un rendez-vous d’échographie pour lequel il a également encore attendu des heures après avoir réglé le taxi aller et retour puis l’examen (car il n’est pas assuré social)… pour lui, il s’agit d’un vrai parcours du combattant. Si ce patient a la malchance d’être en situation irrégulière, il aura pris des risques incroyables de reconduite à la frontière pour un examen qui a été complétement inutile. Evidemment, il ne pourra pas se plaindre puisqu’il est en situation irrégulière. Il faut savoir que ce patient qui désire légitimement connaitre le résultat de son examen, reviendra en consultation pour laquelle il paiera à nouveau 10 euros, pour attendre encore des heures et ne pas avoir de résultat.  Qui d’entre nous accepterait une telle situation ?

     Un autre exemple. Celui du médecin qui prescrit une IRM[18] à une patiente qui a, elle aussi, réglé 10 euros pour sa consultation car elle n’est pas assurée sociale. Elle a aussi attendu des heures pour chaque consultation et des jours pour avoir un rendez-vous d’IRM. Elle revient quelques semaines plus tard en  réglant à nouveau 10 euros et demande le résultat de son IRM. Les images sont dans le dossier, mais le compte-rendu n’y est pas. Appel du médecin à la radio. On ne donne pas de CR si le patient n’a pas réglé. Il se trouve que la patiente dit avoir réglé 243 euros en espèce, ce qui est énorme à Mayotte. Elle dit qu’on lui a rendu la monnaie sur 250 euros qu’elle avait donné et qu’elle vient de recevoir un rappel pour régler son IRM. Elle montre le document au médecin. Malheureusement, on ne  lui a pas donné de facture lors de son paiement. Le médecin rappelle le secrétariat de radiologie. De longues  minutes à attendre. Trop tard.

Les exemples de ce type sont nombreux. Obtenir des CR d’examens est un parcours lent et difficile pour le médecin.  Que de frustrations et de temps perdu pour le médecin et aussi pour le patient.

Il ne faut pas oublier non plus, les difficultés auxquelles les médecins sont confrontés pour demander des avis spécialisés ou des rendez-vous de consultation. Difficultés, voir impossibilité de contacter les différents secrétariats. Bien souvent : « rappelez la semaine prochaine ». La semaine prochaine il sera trop tard et de toute façon, la ligne ne répondra pas… Les patients qui tentent leur chance sont confrontés au même problème. Ils s’en plaignent bien sûr, mais quoi leur répondre. Quant aux patients en situation précaires qui représentent la majorité des patients consultant en CMR, ils ne tentent même pas leur chance. Heureusement pour les médecins, il est possible depuis peu de contacter les consultations spécialisées par email, un grand progrès à notre époque ! Mais alors, l’absence  récurrente de nombreux médecins spécialistes se trouve être un grand problème.  

Il ne faut pas négliger non plus les difficultés que le médecin rencontre face aux nombreuses personnes qui ne parlent et ne connaissent pas le français. Les interprètes se font rares, voire absents et s’ils sont  présents dans le service, certains  sont bien souvent introuvables.

Voici donc un petit survol des conditions de travail d’un médecin de dispensaire à Mayotte. Quand bien même, les conditions financières proposées par le CHM soient tout à fait correctes avec l’attribution d’un logement et d’une voiture pour une durée de trois mois, on peut se demander quel est le médecin qui aurait  envie de venir, ou de revenir,  travailler dans de telles conditions.

Sans aborder les éventuelles raisons[19] qui mèneraient aux différentes pénuries de matériel évoquées,  on peut se demander comment il est possible d’accepter une telle situation dans un département français. Quel est le soignant qui accepterait de travailler dans des conditions dégradées au point de mettre en péril la santé des patients et leur prise en charge ? Quel est le patient métropolitain qui accepterait qu’on lui impose une prise en charge aussi dégradée, impensable en métropole ?

Force est de constater que la situation s’est largement dégradées en quelques années, et particulièrement ces derniers mois qui ont suivi le passage de Chido. On serait tenté de croire que  les nouvelles commandes ou livraisons continuent  encore de s’envoler comme elles l’ont fait lors du passage du cyclone.

Il est vraiment grand temps d’intervenir avant que de graves problèmes médicaux légaux ne  surviennent. Les risques pris sont graves et dramatiques pour de nombreux patients, des Mahorais souvent dans un grand état de précarité ou des patients étrangers en situation irrégulière qui de toute façon ne dénonceront jamais ce à quoi ils sont exposés depuis de nombreux mois lors de leurs visites dans les CMR de l’île[20].

     Cela se passe à Mayotte.  

     Un département français.

     Les Mahorais sont-ils des français de seconde zone ?

     Un grand écart !   

     Quelles qu’en soient les raisons, il faut régler la question. Manque de matériel. Manque de personnels. Problèmes d’organisation.

     Les routes sont reconstruites, nombreux sont  les bâtiments administratifs qui se relèvent en pleine reconstruction. Mais que fait-on de l’hôpital à Mayotte ? Reconstruire les bâtiments est une chose, mais qu’en est-il de la qualité du soin face aux problèmes qui viennent d’être énoncés ?   

     Certains soignants essaient de résister, mais pour combien de temps ?

     Le CHM se trouve confronté à une pénurie de médecins, une pénurie d’urgentistes, une pénurie de sages-femmes. Les soignants sont fatigués et frustrés par une prise en charge des patients qui ne peut être que défectueuse face au manque de moyens. Les soignants en sont réduits à faire des soins primaires dans un département français où la régulation des urgences se fait par l’île de la Réunion avec des médecins régulateurs qui font ce qu’ils peuvent mais que ne connaissent pas le contexte de l’île.

     Le danger est bien réel.

     Combien de morts liés à cette pénurie d’approvisionnement faudra-t-il attendre pour que le service public réagisse ?

     Quelle est la responsabilité de chacun face à cette situation ?

     Les services de l’Etat ? Le CHM ? Les soignants ?

[1] Service d’Aide Médicale d’Urgence.

[2] Service Mobile d'Urgence et de Réanimation.

[3] Nom du cyclone qui a ravagé Mayotte le 14 Décembre 2024.

[4] L’unique centre portuaire de Mayotte accueillant des porte-containers.

[5] Appareil qui permet de prendre les paramètres du patient.

[6] C’est la recherche du taux de sucre dans le sang, la glycémie. Le taux permet d’adapter le traitement chez les patients diabétiques.

[7] Permet de prendre les constantes cardiaques et de faire défiler un Electrocardiogramme pour surveiller le cœur du patient.

[8] Examen CytoBactériologique des Urines.

[9] Gastro Entérites Aigues.

[10] Sels de réhydratation.

[11] Test OPTIMAL.

[12] Traitement de la crise de paludisme qui doit se prendre dès le diagnostic.

[13] Taux d’acétone dans le sang qui permet de connaitre la gravité de certaines pathologies comme le diabète. 

[14] Permanence de soins.

[15] Les GDS (gaz du sang) permettent de faire rapidement de nombreux diagnostics et permettent surtout de connaitre le retentissement biologique de certaines pathologies. Ils sont un argument essentiel lors d’une demande de transfert du patient à l’hôpital pour une prise en charge hospitalière.

[16] Intelligence Artificielle.

[17] Compte rendu.

[18] Imagerie par Résonnance Magnétique.

[19] Manque réel d’approvisionnement ? Mauvaise gestion ? Désorganisation ? Laxisme ? Détournement ou vol ?

[20] Certains de dire, « c’est toujours mieux que ce qu’ils ont chez eux »…

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