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Billet de blog 10 mars 2019

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La guerre intérieur

Guerre intérieure, violences policières, Le président de la république française met en péril la nation L’Instrumentalisation de la peur est une arme redoutable L’offense n’est pas une politique surtout lorsqu’elle est le moyen de l’activation de la violence émanant d’élus mal intentionnés au sommet de l’État.

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La guerre intérieure entretenue par Emmanuel Macron met en péril la Nation et sa République.
Un soulèvement populaire ne peut être ignoré et encore moins conspué.
La violence exercée par le gouvernement et ses députés est une atteinte à la dignité de chacun,

Elle devra faire rapidement la raison d’une mise en accusation. Cette impunité devra être rapidement reconnue et jugée.
La soumission des cours de justice aux injonctions d’obéissances d’ordres d’abus de pouvoir empêche la tenue de procès nécessaire au retour de la paix sociale.
Les mutilations ainsi que les décès orchestrés par le ministre de l’intérieur nous oblige à demander réparation au président de la république française, principal  responsable  de ces violences.
Des pétition circulent dans ce sens.
C’est une situation criminelle auquel nous assistons impuissant puisque le déni prévaut sur la vérité.Le chaos dans lequel nous sommes confrontés depuis novembre 2018 est l’illustration de l’incapacité des corps intermédiaires á maintenir l’idéal républicain. Le défenseur des droits, Jacques Toubon, n’est plus écouté.
La conduite du pays n’est plus assurée dans ces atteintes à nos libertés que sont les répressions et les emprisonnements décidés par les seuls préfets. Ainsi nos droits à défendre l’équité nationale devant la justice sont bafoués.
Les comparutions immédiates en sont la preuve.
Il ne s’agit pas ici de parler de démission du chef de l’État ou d’élections anticipées face au mécontentement puissamment exprimés, mais bien d’imaginer de nouveaux modes de gouvernement afin de faire face aux agressions répétées contre les populations de quelques origines soient-elles.
L’Instrumentalisation de la peur causée par les violences policières est une arme redoutable qui engendre des traumatismes psychiques.
L’interdit de parole ne pouvant plus être légitime dans la construction d’une recherche de fraternité, de liberté et d’égalité se retrouve mis au banc de la société malgré lui.
Ce que nous subissons n’est plus tolérable d’autant que de nouvelles lois condamnent les intentions de citoyens avant même des faits supposés délictueux en leur interdisant de se manifester dans l’espace public par le seul moyen de la garde à vue.
C’est là que se rencontrent les hantises de disparitions des citoyennes et citoyens devenus invisibles par l’incarcération arbitraire.
C’est aussi comme cela que sont clairsemés les cortèges pacifiques des manifestations de gilets jaunes ce qui permet au gouvernement de manipuler l’opinion publique.
Les intimidations par les menaces sont œuvres de faibles, alors que dans le contexte de la dégradation économique nous devons faire preuve de détermination pour répondre aux besoins alimentaires de tous ceux éprouvés par la pauvreté.
L’offense n’est pas une politique surtout lorsqu’elle émane d’élus mal intentionnés au sommet de l’État

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