Dans le cadre de l'intensification de la communication autour du drame que vivent les deux journalistes de France 3 et leurs accompagnateurs, voici le texte d'une lettre proposée par les membres du groupe de Facebook ( Soutien aux deux journalistes de France 3 retenus en Afghanistan), à recopier stricto census ou modifier comme bon vous semble, afin de faire évoluer la position du président de France Télévisions sur l'insoutenable situation des otages retenus maintenant depuis plus de 120 jours en Afghanistan.
Monsieur le Président,
Je suis citoyen français.
J’apprends votre réticence à parler d’Hervé et Stéphane, vos deux journalistes retenus en Afghanistan, tous les jours sur vos antennes. Leur réservant l’unique journée du jeudi.
Autant, au début, votre position pouvait être compréhensible et légitime, autant, plus de 120 jours après, cette dernière ne se justifie plus quelque soit la complexité de la situation sur le terrain.
Au nom de la responsabilité citoyenne, au nom de la liberté d’expression des journalistes à exercer leur métier partout où cela se justifie, au nom du devoir de solidarité et d’humanité inhérent à chaque citoyen de ce monde, je vous prie de reconsidérer votre position actuelle et de diffuser, chaque jour, sur l’ensemble de vos antennes du Groupe France Télévisions, un appel à la libération d’Hervé et Stéphane et de leurs collaborateurs afghans.
Je vous vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes salutations distinguées.
A l'attention de:
M. Patrick de Carolis
Président de de France Télévisions
Pièce N854
7 Esplanade Henri-de-France
75015 Paris
Par ailleurs deux sites de soutien, uniquement consacrés à ce sujet, existent maintenant sur la toile:
http://www.soutienherveetstephane.org/ (ou vous pouvez d'ailleurs signer la pétition demandant la libération des otages)
et
Enfin, le site de Facebook précurseur dans ce soutien compte maintenant plus de 7000 membres:
http://www.facebook.com/event.php?eid=115022511865549#!/group.php?gid=252579303018
Merci de d'informer autour de vous sur ce sujet qui a grand besoin que l'on fasse plus de bruit.
Le silence sur ces cinq hommes est, chaque jour qui passe, un peu plus complice de leur souffrance.
Merci