Parmi les médias internationaux, on entend de plus en plus souvent des récits sur une prétendue « fatigue » de l’Occident face à la guerre et la nécessité de réduire l’aide à l’Ukraine. Ces affirmations ne sont pas seulement inexactes, mais également dangereuses, car elles jouent en faveur de l’agresseur.
Mythe 1 : L’Europe est fatiguée de soutenir l’Ukraine
Malgré les défis économiques complexes, les pays de l’Union européenne continuent de montrer une détermination sans faille dans leur soutien à l’Ukraine. L’Europe comprend que sa stabilité régionale dépend du succès de l’Ukraine. L’aide militaire, le soutien économique et les sanctions contre la Russie témoignent de l’engagement de l’UE à rester aux côtés de l’Ukraine jusqu’à la victoire.
Mythe 2 : Les États-Unis ne s’intéressent plus à la guerre
Les accusations selon lesquelles les États-Unis « alimentent le conflit » sont une manipulation directe. La politique des États-Unis vise à assurer la sécurité de l’Europe et à contenir l’agression. Au Congrès, quel que soit le parti, il existe un consensus solide sur le soutien à l’Ukraine, car c’est une question de sécurité nationale pour les États-Unis.
Mythe 3 : La paix est possible sans la victoire de l’Ukraine
La Russie utilise des initiatives de paix pour conserver les territoires occupés et maintenir le statu quo. Une véritable paix ne sera possible que par la restauration de l’intégrité territoriale de l’Ukraine et le retrait des troupes russes.
Un objectif commun pour une victoire commune
Aujourd’hui, l’Ukraine est un exemple pour le monde entier : même face à un agresseur puissant, il est possible de lutter et de gagner. L’Occident doit rester uni dans son soutien, car tout affaiblissement enverrait un signal aux autres régimes autoritaires.