Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Dans la série "Preuves à l'appui d'un processus parfaitement maîtrisé" (le processus en question étant celui de notre asservissement en cours de réalisation), j'en apporte une de plus impliquant directement nos Etats et ceux qui les dirigent dans la responsabilité pleine et entière qu'ils ont à l'égard de la "brillante" situation actuelle. La preuve que j'apporte aujourd'hui concerne un délit de droit commun gravissime passible des plus lourdes peines : la création et l'usage de la fausse monnaie.
Comme chacun sait, les produits dérivés, - qui sont encore et plus que jamais librement créés et émis par les principales banques privées de la planète -, sont directement à l'origine de "la crise de la dette" que nous subissons, elle-même issue en droite ligne de la crise dite des "subprimes". Or qu'est-ce qu'un produit dérivé ? Un produit dérivé est une création bancaire prétendument complexe servant principalement de moyen de paiement dans des opérations d'échange de biens adossées à des actifs comme par exemple l'immobilier dans le cas de ces fameux "subprimes". Il s'agit donc bien de monnaie en tant que moyen d'échange de biens. Or la création de monnaie étant une activité que seul l'Etat ou un groupement d'Etats est légalement habilité à exercer, permettre la création et l'émission des produits dérivés par des acteurs privés revient tout bonnement à autoriser la production de fausse monnaie. Et connaissant les dégâts occasionnés sur une économie par l'introduction massive de fausse monnaie, on pourra donc un peu mieux comprendre la situation actuelle sauf à vouloir toujours chercher midi à quatorze heures.
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