Le lien ci-dessous renvoie sur un article de Clovis CASADUE, édité par calyps'o et que j'ai jugé utile de commenter à ma façon.
Clovis CASADUE pose très bien le problème sous forme de scénarios clairs, précis et faciles à comprendre mais il n'envisage pas la solution que suivraient certains d'entre nous de fonder leur propre société.Clovis CASADUE parle d'un éternel retour comme d'une sorte de fatalité contre laquelle on ne pourrait rien faire sans chercher à constater que cet aspect répétitif de l'évolution de nos sociétés et de nos civilisations procède d'un principe bien connu en physique. Celui qui énonce que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Or ces causes, on les connaît ! Marx les connaissait, Lénine les connaissait, Engels, Mao les connaissaient. Même Fidel Castro les connaît. Oui bon, d'accord, tous des socialo-communistes qui ont failli conduire l'humanité à sa perte en privant l'homme de sa liberté et en commettant les crimes les plus atroces à l'encontre de leur propre population. Soit. C'est en tout cas ce que nous croyons tous, dur comme fer. Mais ne devrions-nous pas nous demander, à l'occasion des faits qui sont en train de se produire tout autour de nous et en ce moment même, si cette croyance est réellement fondée ? Et si nous avions été victimes d'un bourrage de crâne intensif de la part d'une petite partie de l'humanité qui, depuis la nuit des temps, n'existe que par son besoin irrépressible de dominer l'autre partie. Et si cette minorité de dominants avait pris peur que lui échappe à jamais ses esclaves, les salariés d'aujourd'hui, comment aurait-elle réagi si ce n'est en jetant le discrédit sur l'idée qu'un monde meilleur était possible, en vue de persuader les brebis égarées de revenir dans leur bercail. Celui de la soumission et de la servitude. Hors du capitalisme point de salut ! Voilà ce qu'on a voulu nous faire croire et voilà ce que nous avons tous, ou presque, gobé. Maintenant, il semble être beaucoup trop tard pour faire machine arrière, même après nous être rendus compte de l'immense imposture. Mais nous pouvons encore nous libérer définitivement de l'emprise de tous ces malades en créant nos propres sociétés, fondées sur des valeurs saines et respectueuses de la dignité humaine. Selon les principes propres à tous les processus évolutifs naturels, l'âge moyen atteint aujourd'hui par notre civilisation est de 20 ans. Celui de la majorité. Le temps serait donc venu, pour nos sociétés, de s'émanciper de cette autorité "parentale" qui a prévalu jusqu'ici. Et pour nous, celui d’entrer enfin dans le monde des adultes …Billet de blog 24 octobre 2010
Le temps de nous émanciper ...
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