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Billet de blog 12 mai 2016

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Monsieur Perraud ayant tiré une ultime salve avant de fermer les commentaires car il ne supporte plus la contradiction (technique qu'il a déjà employée) je passe par un billet pour lui répondre :

Source : https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/100516/sur-la-scene-de-l-opera-la-chute-d-un-harceleur

Avant de fermer ce fil (trop de médiocrité tue le participatif comme je m'en explique supra), un dernier point, argumenté, pour contredire Al Ceste (accusé d'être un camelot de soi-même pathétique, un peu plus haut, par un commentateur virulent mais sagace). Al Ceste (anciennement Quoique et qui vous livre sa véritable identité d'écrivain à compte d'auteur dans les messages privés dont il abuse), Al Ceste, ici et comme d'habitude, raconte tout et n'importe quoi. Je me concentre sur son n'importe quoi – ma fibre participative ne reculant devant aucun sacrifice 

Je ne suis pas à compte d'auteur. Et il me serait difficile d'abuser de messages privés vu que Monsieur Perraud, quand j'étais Quoique et sous l'ancienne version, m'avait interdit l'accès à sa messagerie. Et alors, on n'a pas connaissance d’auteurs taisant l'existence de leurs œuvres ! Mais merci au passage pour la publicité, certains ignoraient peut-être que je suis écrivain.

Il n'y a pas eu dialogue calme et loyal pour la bonne raison que Monsieur Perraud, comme d'habitude, a répondu d'entrée à Anarchasis sur le mode "attaque personnelle".

Bref, je mène une conversation participative en manifestant mon désaccord ou mon accord avec les commentateurs auxquels je choisis de répondre (Al Ceste, autocentré – donc sans grand intérêt –, ne méritant pas que l'on s'attarde sur ses « contributions » en forme de “jexiste.fr”).

Que Monsieur Perraud ne s'attarde pas sur mes contributions, qu'il ressorte encore et encore sa métaphore minitelle, même modernisée, peu me chaut. Il s'en trouve assez pour les apprécier et le dire. Cette technique du mépris monté sur trône, trop employée avec des gens de qualité comme, exemple récent entre beaucoup, Pascal Maillard, ne m''impressionne pas. Il faudrait voir à changer de disque.

Or jamais, de mon côté, je ne manie de telles bassesses linguistiques parfois proches du style ordurier.

Bien sûr, ce n'est pas lui qui a écrit « tout-à-l'ego », ce n'est pas lui qui moque un « désir perdu d'exister ».

Et voilà que je découvre qu'a déboulé un vieil abonné perdu pour l'intelligence, gorgé d'amertume, hérissé de haine : Joël Martin. Cela donne ceci (17h20), c'est-à-dire « le premier pas » – celui que m'attribue Al Ceste au mépris de la réalité :

Je ne lui ai jamais attribué ce pas-là, pour la bonne raison que je pensais au pas contre Anarchasis, comme signalé plus haut et bien avant ma réaction à M.TESSIER :

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Reprenons le fil des commentaires. Anarchasis émet le 10/05/2016 à 15:19 une critique de détail sur l'article (mais sans rien contre son auteur). Monsieur Perraud réagit illico sur le registre de l'attaque personnelle :

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Les lecteurs du fil chez Monsieur Perraud (s'il n'est pas tripatouillé) seront juges de qui méprise, non, tord la réalité.

P.-S. Pour les plus avisés qui, découvrant leur exagération dans la hargne, la rogne et la grogne pugnaces, seraient tentés d'effacer leurs traces d'agressivité compromettante à mon égard : peine perdue, tout a été capté sur écran donc sauvegardé (pour le plus grand profit de la recherche en sciences sociales et non en vue d'un procès pour injures publiques) !

N'ayant jamais recouru à la hargne la grogne et la rogne avec Monsieur Perraud, voilà bien une menace qui m'indiffère. Pour le reste, pour ce que je pense de Monsieur Perraud... non, rien. Ah si, dire quand même qu'il est le seul sur Médiapart à monter sur ses grands chevaux à la moindre critique. L'excellent Mathieu Magnaudeix a été mis plus bas que terre pour avoir osé critiquer Saint Ramadan, et il a laissé pisser avec un flegme qu'il faut saluer.

Article stocké si passage de ciseaux...

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