a voilà qui exige de la SNCF qu’elle rembourse. Maldonne! Au vrai, c’est à elle, en sa qualité de fournisseur, de payer la note et, au besoin, de la présenter au vrai fauteur de grève : Macron, le trouble-fête !Voilà pourquoi, sans condition, ni « préalables » nous reprenons le mot d’ordre « MACRON, DEMISSION », au plus vite.
Ce soir, nous sommes dans une situation de mi- greve, mi- trêve en ce premier jour de vacances scolaires.
Nous n’avons là encore qu’un mot à dire : VIVENT LES GREVISTES ET LES MANIFESTANTS.
Les bonzes placés à la tête de la CGT claironnent : MOBILISATION GENERALE JUSQU’AU RETRAIT. Slogan à pas cher qui couvre une équivoque : la poursuite des tractations, a priori tout l’hiver avec l’État et son « chef ». Martinez et Veyrier ressemblent à des chalands qui tournent autour du pot, espérant que ce soit du miel des Vosges, en forme « d’avancées » qui sont de simples réglages avant LOI CADRE qui ne vaudra que par ses DECRETS.
Certes, tout retard pris dans la présentation du projet de loi est déjà ça de pris sur tous les « partenaires sociaux » qui s’en remettent à l’État et à l’UE. Cela PEUT permettre le déferlement d’une nouvelle LAME DE FOND plus tranchante : pour les retraites, les salaires, les effectifs, contre la TVA, pour le pouvoir d’achat et vers la grève générale, c’est-à-dire le règlement général des comptes.
A suivre et à débattre