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Billet de blog 10 octobre 2010

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Quand Madoff vient au secours de Kerviel... en chanson !

Du fond de sa prison, l'escroc Bernard Madoff a décidé d'enregistrer un disque au profit du trader Jérome Kerviel, condamné à rembourser 5 milliards d'euros à la Société Générale

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Du fond de sa prison, l'escroc Bernard Madoff a décidé d'enregistrer un disque au profit du trader Jérome Kerviel, condamné à rembourser 5 milliards d'euros à la Société Générale

Il s'agira d'une version personnelle de « travailler c'est trop dur », dont nous vous rappelons les paroles originales à titre de comparaison :


Bernard Madoff ne chantera pas mais plutôt

 

Travailler, c'est trop dur,

et voler, c'est pas beau.

D'mander la charité,

c'est quéqu'chose j'peux pas faire.

Chaque jour que moi j' vis,

on m'demande de quoi j'vis.

J'dis que j'vis sur l'amour

et j'espère de viv' vieux!

 

Et je prends mon vieux ch'val,

et j'attrap’ ma vieille selle

Et je sell' mon vieux ch'val

pour aller chercher ma bell'.

 

Tu connais, c'est loin d'un grand bout de là,

de Saint-Antoine à Beaumont

Mais le long du grand Texas,

J'l'ai cherchée bien longtemps.

 

Et je prends mon violon,

Et j'attrape mon archet,

Et je joue ma vieille valse

Pour fair' le monde danser.

 

Vous connaissez, mes chers amis,

la vie est bien trop courte

Pour se faire des soucis, alors…

ce soir allons danser!

 

Travailler, c'est trop dur,

et voler c'est pas beau.

D'mander la charité,

c'est quéqu'chose j'peux pas faire.

 

Chaque jour que moi j'vis,

On m'demand' de quoi j'vis,

J'dis que j'vis sur l'amour

et j'espère de viv' vieux!

 

 

Travailler c'est trop dur

Et voler c'est pas beau

D’mander la charité

C'est quéqu'chose je peux pas faire

Chaque jour que moi j’vis

On m’demande de quoi j’vis

Moi je vis des gogos

Et j'espère de viv’ vieux !

 

Et j’emprunte vingt mille balles

Et j’promet des merveilles

Et le client s’emballe

Pour aller chercher l’oseille

 

Tu m’connais, j’leur ai fait tous gober ça,

De Saint-Antoine au Japon,

Et de New York au Texas,

Ça a marché bien longtemps

 

Et je prends mon crayon,

Et j’attrape mon chéquier,

Et j’fait mon vieux passe-passe

Pour le monde escroquer.

 

Vous connaissez, mes chers amis,

La vie est bien trop courte

Pour se faire des soucis, alors…

Moi j’ai tout dépensé !

 

Travailler, c'est trop dur,

Et voler c'est pas beau.

D'mander la charité,

c'est quéqu'chose j'peux pas faire.

 

Chaque jour que moi j'vis,

On m'demand' de quoi j'vis,

Moi je vis des gogos

et j'espère de viv' vieux!

 

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.