Un peu plus d'un mos est tout est à faire...
Bien sur il faut déjà faire des constats, le grand mur sondagier et le cirque médiatique reste en apparence solide sur ces bases, comment en serait t'il autrement puisque c'est sur les peurs et les souffrances (a l'ouest rien de nouveau) que se construise aujourd'hui les politiques, plutôt que sur l'espoir et les désirs. C'est donc dans cette démocratie fourvoyer et manipulé que nous somme invité à nous prononcer et de préférence pour les tête de gondoles plutôt que dans la dispersion.
Le degré de désintérêt ou d'abstention non de fait pas plus d'importance que la mine toujours penaude et désolée que prennent les professionnelles du politique-show pour les évoquer. Ce qui compte se n'est pas les sans voix quelque en soit la raison, et ceux là sont de toute façon bien moins inquiétant que ceux qui se tourne vers les extrêmes. Mais qu'elle sont t'il de fait ces extrême aujourd'hui ou le choix politique se résume de fait à la consommation de masse. Et bien il sont tout se qui pourrait dépasser des choix prévu, prévisible, en un mot du bon choix libéral. Car se choix qui n'en est plus vraiment un est pourtant inscrit comme absolu et qui qu'onques aurait l'idée saugrenue de s'en écarter se met en grand danger de turpitude et de grande culpabilité, puisqu'il laisserais ainsi la porte ouverte à ces vent mauvais de l'extrême. Va donc brave petit électeur, ouvre grand tes yeux et tes oreilles devant la lucarne magique qui ne ment jamais, ne se trompe jamais, et te diffuse en boucle grâce à ces experts en prêt à penser les dernières tendances de la mode politique du printemps prochain. Elle serra donc Sarkomence pour tous ceux qui par je ne sait qu'elle tour de magie où d'amnésie masochiste n'aurait toujours pas comprit, sentie, vu, le ravage tant dans le monde du travail, que de la ponction dans leur porte-monnaie, que celui-ci leur à fait subir; Mais il est vrai aussi qu'en politique le bilan importe bien moins que le privilège d'être en place. Où elle serra socialiste avec sa désormais bien roder machine à perdre ou à désillusion, le fameux vote utile. Utile à qui, utile à quoi serrais je tenter de dire avant de me faire rattraper par la bien pensante évidence...à battre l'autre bien sur. Mais ou avais je la tête, qu'elle idée exaltante en effet de pouvoir se débarrasser de ce qui aura été sans doute le plus caricaturale des chefs d'états libéral, pour le remplacée par un technocrate socio-libéral de deuxième choix, issu du partie hégémonique de gauche qui étouffe toutes les forces, initiative et idées nouvelles depuis plus de trente ans. Et de fait le clivage, donc le choix qui nous est offert n'est que celui de personnalisation et d'emballage linguistique de type grand événement sportif, choisi ton champion, ton équipe fanion, le grand trophée se jouera ailleurs dans une autre compétition internationale qui nous impose en tout cas plus de rigueur, de sacrifice et de renoncement.
Mais pourtant et contre toutes les prévisions normalement bien maitriser, une autre perspective se profile.
Malgré les rouleaux compresseurs des grosses écuries dument estampiller capable de gouverner, mais surtout si consciente, seul tenante devrait t'on dire d'une sorte d'alchimie de réalisme et de sérieux, qui disqualifierait de fait tout les autres, les petits (bonne nuit...). Malgré l'ignoble et irréel masque de la haine nationaliste, mieux mis en scène que jamais, qu'importe le vide sidérale de contenu, qu'importe la nauséeuse et délatrice forme du discourt maintenant accréditer de respectabilité et dument relayer au plus haut de l'état pour nous faire trembler un peu plus. Il faut bien voir là a qu'elle point nous somme tomber bien bas, mais l'important c'est que le piège à gogo continu de remplir sa fonction d'épouvantail républicain, pour nous ramener dans le droit chemin le moment venu, où mieux encore à nous dissuader de voter suivant nos aspirations ou nos sentiments par ce qu'on est pas là pour rêver!
Pourtant, les sondages et les têtes pensantes sont obliger de voir et d'entenre aujourd'hui qu'une brèche imprévu c'est ouverte. Et le petit candidat Mélenchon, bien borné, bien mal relayé, bien mal épauler aussi parfois à déjà gagner. Créditer de plus de 10% d'intention par les sondages, ce qui se traduit par davantage (les corrections conjoncturelles et la mauvaise fois impose de le minorer le plus longtemps possible), il à surtout réussi à imposer et à rendre crédible l'idée d'un autre scénario dans cette élection. Il n'y a pas à faire ici de triomphalisme avant l'heur, mais de simplement dire qu'il à déjà gagner soit simplement avec les quelques point supplémentaires qu'il peu encore récolté d'ici l'échéance du 22 Mai sur son propre non et sur son énergie communicative; Mais il a surtout su poser des jalons qui son incontournable pour une issu heureuse et imprévu à cette élection fataliste. La suite il est vrai ne dépend de fait (tant mieux) de sa seul bonne volonté, mais bien que chacun prenne la mesure de la perspective ouverte, de sa propre responsabilité ou de son aspiration politique. Il n'y a désormais plus le temps, ni d'argument suffisamment solide pour pinailler sur ce qui pourrai être une gouvernance plus humaniste, plus ouverte et enfin novatrice.
Je prend donc au mot Jean-Luc Mélenchon et en premier lieu, sur son introduction des meeting de Bordeaux où de Nantes, il ne s'agit pas de scander le non d'un chef de plus.
J'invite encore et encore les autres parties et militants de la gauches sociale à compter sur leurs doigts, pacque même zéro et des broutilles en plus c'est important il n'y a pas de petit apport si la victoire se dessine. Et il n'y aura pas de petite contribution si elle se concrétise pour le troisième tours, le plus important; Ou on souhaiterai bien voir des Philippe Poutou, où des Nathalie Arthaud à la députation et aux affaires enfin, plutôt qu'instrumentaliser par les médias pour casser leur rival (JT de 13h sur la 2 le 11 Mars en apéritif du meeting de Vilpinte).
J'invite les Vert d'Europe Ecologie, donc Eva Joly qui aurai pu être ma candidate, à faire un rapide éxamen de conscience à la fois sur leurs fondamentaux. Vous n'êtes pas dépositaire du combat écolo, même si c'est vous qui l'avez imposé comme élément incontournable du débat politique. Au vu du pathétique brouhaha de discorde interne et de petit intérêt perso qui accompagne une fois encore votre campagne, la cause que vous defender et les projets que vous porter ne mérite t'il pas mieux que les quelques strapontins législatif que voudrons bien "peu-être" vous laisser la machine socialiste -si-
J'invite les socialistes de gauches (il parait qu'il en reste quelque un) à entendre que nous n'attendons surtout pas un nouveau programme commun, mais tout son contraire. Cette remarque vaut d'ailleurs aussi pour mes camarades communiste avec qui je milite actuellement, une fois de plus. Un nouveau mode de gouvernance et sans doute en train d'émerger de se profiler et camarade vous ne pouvez pas rester engoncer dans des consignes et les désillusions du passer. J'ai vécu moi aussi 81et sa suite, je me suis battu contre et avec une des figures les plus caricatural du socialisme (Georges Frèche) et je ne l'ai jamais considéret comme mon ennemis, j'ai voter contre nature et la honte aux joues à droite une fois de trop suite à la démission morale et politique d'un de vos si brillant représentants. Alors camarades comprenez que ce n'est plus acceptable, ni moralement, ni idéologiquement; Le juste report des voix pour une autre politique c'est à vous de le faire maintenant et dés le premier tour.
Pour moi la suite de cette élection est aussi calme et résolu que joyeuse. Il y a comme un parfum de Front Populaire dans se printemps qui vient. Et tiens rendez-vous à la Bastille dés ce Dimanche, la fête est déjà belle.