Ces derniers jours, les réseaux sociaux et la presse en ligne se sont enflammés par un flot ininterrompu de fake news émanant de sites « bâtards », ciblant les institutions algériennes et notamment les plus hautes autorités politiques, à leur tête le président de la république et son premier ministre.
Ces fake news, qui font partie d’une sale guerre psychologique menée à travers les médias et les réseaux sociaux, veulent indéniablement faire pression sur le nouveau président algérien démocratiquement élu et influer sur ses décisions à venir; voire à l’emmener à abandonner son ambitieux projet politique, économique et social, visant le redressement des institutions de l’état et le rétablissement de l’autorité perdue.
Pour ce faire, les adeptes du chaos, ennemis jurés de la stabilité de la nouvelle Algerie promise par le président Abdelmadjid Tebboune, n’ont trouvé pour mener cette sale besogne de désinformation de l’opinion nationale que le controversé toutou de l’oligarchie compradore algérienne, le maître chanteur, Abdou Semmar.
Ce traître de l’infamie, qui veut jeter l’opprobre sur d’honnêtes citoyens, se dissimule souvent sous différents pseudonymes en utilisant certains titres de la presse en ligne, connus pour leur hostilité viscérale envers l’Algérie et ce pour distiller ses articles de la haine, notamment le site des services de renseignement marocains«Maghreb Intelligence» et le site français « Mondafrique ».
Les parrains de ce sulfureux plumitif tentent, tapis dans l’ombre, de préserver les privilèges et les positions qu’ils ont acquis honteusement durant les vingt années de règne chaotique du clan de l’ex président Abdelaziz Bouteflika et son sociopathe de frère cadet.
Sous le titre farfelu et provocateur « les enfants de Tebboune et Djerad associés dans une affaire commerciale », le pantin des maîtres chanteurs a dévoilé, encore une fois, à force de mensonges, de vulgaires falsifications et de montages de documents, que la démarche de redressement de l’état entreprise par le nouveau président algérien est la bonne; elle fait mal à ses détracteurs, particulièrement le clan que conduit actuellement un ex-premier ministre honni par le peuple et frustré par le faite qu’il soit débarqué, après avoir essayé, lui et son clan, par tous les moyens de confisquer la volonté du peuple souverain en tentant lâchement d’imposer par la triche un autre président.
Enfin, la pratique odieuse du chantage politique le plus abject, par la menace de divulgation de faits imaginaires, de mensonges et de calomnies, orchestrée par les résidus du gang, toujours en liberté, ne feront que renforcer davantage la conviction des nouvelles autorités en place qui progressent indéniablement sur la voie du succès.
Albert Farhat