Vendre son honneur et trahir sa patrie, en contre partie d’un pactole versé rubis sur l’ongle dans l’hexagone ou ailleurs, est apparemment devenue une activité très prisée par certains algériens installés en Europe, notamment en France et au Royaume-Uni.
Cette infâme engeance traîtresse s’appelle Larbi Zitout, Hicham Aboud, Amir Boukhors, Abdou Semmar, Saïd Bensedira, Lyes Rahmanie.
La soif de traîtrise de ces saltimbanques de la discorde n’a d’égale que leur besoin viscéral de nuire à leur pays, moyennant un visa apposé sur leurs passeports, ou juste un sourire narquois et dédaigneux du maître de céans.
La complaisance de ces satellites neo-indigènes à l’endroit de leurs mentors est profondément atavique et congénitalement servile; ils mènent une guerre par procuration contre leur pays avec l’aide de certains services de renseignement étrangers, hostiles à une Algérie fière et souveraine.
Ils visent, par leurs actions conjuguées de martèlement subversif qu’ils mènent en direction de leurs concitoyens, la désagrégation, le délitement et la dissolution du sentiment national.
Ce pilonnememt des cerveaux a pour objectif également d’obscurcir les choses jusqu’à faire croire que la trahison est non pas une menace de mort pour la collectivité nationale, mais au contraire un vrai droit pour chacun des citoyens qui la composent.
En substance, il s’agit de provoquer au sein de l’algérien lambda une sorte d’accoutumance à la trahison.
Pire encore, chaque jour , ces relais de la désinformation et de la subversion médiatique étrangères, qui mènent contre leur « pays d’origine » une guerre psychologique des plus abjecte, veulent faire croire que la trahison et la vilénie sont des notions désuètes , voire moyenâgeuses .
Ces neo-indigènes de la France nostalgique diffusent avec des méthodes qui dénotent les plus puissants appuis, et avec l’aplomb que donne la certitude de l’impunité, des documents non publics intéressant même la sécurité nationale.
En somme, cette cyberguerre menée contre l’Algérie par certains puissances occidentales constitue une variante remarquable de la stratégie déjà mise en action en Libye durant le pseudo printemps arabe.