A peine annoncée sur les réseaux sociaux, la disparition subite et inattendue du chef emblématique de l’armée algérienne, Ahmed Gaïd Salah, s’est accompagnée d’un flot ininterrompu de réactions haletantes d’hostilités stériles et haineuses, émanant d’une horde de neo-indigènes inféodés aux médias français et orientés par les services secrets de certains pays hostiles à la stabilité de l’Algérie.
Ces néons-indigènes de services alternent dans leurs déclarations entre réjouissances face à ce décès et de haine envers ce fervent héros de la souveraineté nationale. D’ailleurs, le jour même de l’annonce du décès par les autorités algériennes, le maître chanteur Abdou Semmar, qui s’est distingué par une célérité inégalable dans la diffusion de fausses assertions sur les causes ayant engendré la mort du chef de l’armée algérienne, est apparu sur une vidéo haletant de bonheur et de plaisir de vengeance.
Il fut immédiatement relayé par ses compères de la toile, notamment par le bédouin de Londres Saïd Bensedira, le psychopathe Larbi Zitout, l’honnête hypocrite Hicham Aboud et le travesti du deuxième bureau Amir Boukhors.
Ce ramassis de mercenaires, sans vergogne, des réseaux sociaux, qui nourrissent la haine et incitent à la violence, prennent très au sérieux leur rôle de redresseur des torts qui leur a été attribué par leurs mentors algérophobes allant jusqu’à menacer de mort ceux qui ont tendance à contredire leurs déboires verbaux.
Dans le sillage du Hirak, qui leur a donné une raison d’exister et un terrain idéal pour s’exprimer et se faire valoir, ils ont préféré distiller la discorde et fomenter perfidement la haine entre les algériens
Même mort, le défunt Gaid Salah continue à les terroriser par l’ampleur de l’adhésion populaire qu’il a su créer autour de l’armée algérienne.
Albert Farhat