Tout a commencé en décembre 2024, lorsque le Premier ministre Michel Barnier, pris dans l’étau d’une Assemblée nationale hostile, a recours à l’article 49.3 pour imposer la loi de finances 2025. Quelques jours plus tard, il est renversé par une motion de censure, plongeant le pays dans une crise politique sans précédent.
Le blocage parlementaire : une République paralysée
Malgré les consultations effrénées, Emmanuel Macron échoue à nommer un nouveau Premier ministre capable de rassembler une majorité. Les alliances se brisent, les rancœurs s’exacerbent, et le pays s’enlise. La dissolution de l’Assemblée, impossible avant juillet 2025, pousse le Président à adopter une stratégie d’attente, espérant apaiser les tensions par le simple écoulement du temps. Mais l'Histoire, implacable, refuse de lui accorder ce répit.
La crise ukrainienne et l’escalade mondiale
La guerre en Ukraine atteint un point de bascule début 2025, lorsque les forces russes, en représailles à des frappes profondes sur leur territoire par des armes occidentales comme les missiles Storm Shadow, HIMARS et Scalp-EG, lancent leur tout nouveau missile hypersonique Tsirkon-2. Kiev est lourdement frappée. Parmi les victimes, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, symbole de la résistance face à Moscou. Le monde occidental se mobilise. Une coalition internationale, menée par les États-Unis, demande l’envoi de troupes au sol pour empêcher un effondrement complet de l’Ukraine.
Macron face au tumulte : un coup de force raté
Isolé politiquement, Emmanuel Macron tente un dernier coup de force pour engager la France dans ce conflit, malgré une Assemblée divisée et une opinion publique hostile. Mais les Français ne l’entendent pas ainsi. Une mobilisation massive s’organise, avec les étudiants de Sciences Po à l’avant-garde des manifestations. Les rues de Paris et des grandes villes se remplissent. Des émeutes éclatent, paralysant le pays. Macron, acculé, disparaît des écrans pendant plusieurs jours.
L’annonce qui fait trembler la République
Le soir du 15 mars 2025, Emmanuel Macron réapparaît sur les écrans à 20 heures pour un discours historique. Le visage marqué, la voix posée, il annonce sa démission immédiate. Les Champs-Élysées se transforment en un torrent de joie populaire, rappelant les heures euphoriques de mai 68. La République est désormais sans président ni gouvernement stable, et une élection présidentielle anticipée est convoquée.
Un duel explosif : LFI contre le RN
Le premier tour de l’élection présidentielle voit une fracture totale de l’électorat. Les partis traditionnels s’effondrent. Jean-Luc Mélenchon pour La France Insoumise (LFI) et Jordan Bardella pour le Rassemblement National (RN) se hissent au second tour. La campagne s’annonce âpre, polarisée à l’extrême. La France retient son souffle, consciente que le choix de son prochain dirigeant déterminera non seulement son avenir, mais aussi sa place dans un monde en pleine recomposition.
L’heure des choix
Les yeux du monde entier sont tournés vers la France. Quelle voie choisira-t-elle ? L’effondrement des élites traditionnelles marque-t-il l’avènement d’une ère nouvelle ou la chute irréversible de la République telle qu’on la connaît ? L’histoire est en marche, et elle n’attendra personne.
Un scénario politique dystopique pour la France
L’article ci-dessus est une fiction politique, imaginant les conséquences d’un renversement du Premier ministre Michel Barnier et d’une crise institutionnelle majeure en France. Ce récit ne décrit pas des événements réels mais explore des tensions et des enjeux contemporains à travers un prisme fictif.
Le scénario vise à susciter réflexion et débat sur la fragilité des institutions, l’impact des crises internationales, et la polarisation politique grandissante en France.
Par Alexandre Thomas