Mensonges d’Etat comme arguments pour un état d’urgence sanitaire ? Et si la crise du Covid avait un autre visage, le regarderiez-vous ? Santé Publique France annonçait, fin mai 2021, avoir corrigé les informations des tests et décès liés à la COVID 19. Oui, l’organisme public dont les informations ont lourdement pesé sur les décisions gouvernementales reconnait qu’un individu pouvait avoir été comptabilisé plusieurs fois et avoir procédé à un dédoublonnage. En un an, la France a connu des confinements, des restrictions à la circulation, le port obligatoire du masque, la restriction à l’éducation, la censure de la culture, la campagne de vaccination et s’apprête à discriminer les bien-portants et les esprits libres avec la mise en place d’un passeport sanitaire. En cause : la COVID 19, un virus échappé, selon les doutes américains, d’un laboratoire de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus, inconnu de tous et catalyseur d’un conditionnement collectif.
Une faible létalité, une forte fragilisation de la santé mentale
Oui, ce virus peut être mortel. Les données de Santé Publique France, même fausses, en attestent. En attestent aussi les soignants qui voient mourir depuis des années le système de santé. Voyons les chiffres rectifiés communiqués publiquement par l’organisme. Du 1er mars 2020 au 17 mai 2021, soit sur plus de 13 mois glissants, on dénombre 48 230 décès liés à la COVID 19, dont 31 275 avec des comorbidités. C’est-à-dire que d’autres facteurs, parfois multiples, sont responsables du décès de ces individus. Au total, 16 955 personnes sont décédées « sans comorbidité ou non renseigné ». Valeur haute : 0,025% de la population française. Les statistiques de Santé Publique France rapportent que 79,58% de ces personnes décédées ont plus de 75 ans. Une étude plus fine permettrait, évidemment, de cibler la tranche d’âge moyenne la plus à risque. On peut parier sur plus de 80 ans, soit l’espérance de vie dans notre pays, à notre époque. Claude Janvier, co-auteur de « Le virus et le président : enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire », chez IS Edition, précise même « L’âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l’âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. »
Dans le même temps, le même organisme d’Etat publie une enquête pour suivre l’évolution de la santé mentale pendant l’épidémie de COVID 19. A fin avril 2021, on dénombre « 22% de Français qui souffrent d’un état dépressif (+12 points par rapport au niveau hors épidémie) », « 64% déclarent des problèmes de sommeil au cours des 8 derniers jours (+15 points) » et « 9% ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année (+4 points) », soit plus de 6 millions de personnes. La crise sanitaire est-elle la seule responsable de cette fragilisation de la santé mentale ? Certainement pas, mais la corrélation et le fait même que l’enquête compare avec un « niveau hors épidémie » prouvent que la COVID 19 est liée à cette augmentation de la précarité psychologique des Français. La députée médecin psychiatre Martine Wonner a d’ailleurs alerté le gouvernement et ses collègues de l’Assemblée Nationale sur la recrudescence des consultations en psychiatrie, notamment des enfants, dramatiquement plus nombreux à évoquer le suicide. Dans un article publié par LE MONDE le 26 novembre 2020 : « Cinq patients de moins de 15 ans étaient hospitalisés début novembre à la suite d’une défenestration, alors que cela concerne habituellement un adolescent par mois », indique le professeur Pauline Chaste, chef du service de pédopsychiatrie de l’hôpital Necker. A l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), les hospitalisations en pédiatrie pour raisons psychiatriques ont augmenté de 50% à fin octobre 2020, à 3 600, contre 2 400 un an plus tôt (LE MONDE du 26/11/2020). Invitée le lundi 22 mars 2021 sur France Inter, Angèle Consoli, pédopsychiatre et membre du Conseil scientifique, a déclaré que les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80% » depuis le début de l'épidémie de coronavirus.

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Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute, écrivait dans le Figaro le 25 mai 2021 au sujet du port du masque chez les enfants, de « la culpabilisation qui pèse comme une épée de Damoclès, donnant un ton tragique et grave à chaque entrée à l'école. Quand on sait que l'anxiété et le stress sont corrélés négativement avec l'apprentissage, c'est un vrai pari sur l'avenir que l'on est en train de faire ! » Les effets psychologiques de ce masque sont dramatiques, pour les enfants qui ne sont pas concernés par cette maladie dont les gouvernants, les lobbys pharmaceutiques et les intérêts financiers nourrissent la peur. Ce masque qui efface l’émotion sur nos visages plus qu’il ne protège, surtout en plein air. Cette génération d’enfants, a minima perturbés, c’est pourtant la génération qui fera vivre le pays dans un avenir proche.
Refus de la prévention et du traitement
Le conditionnement collectif est en marche. Port du masque, peur de l’autre, angoisse dans les transports, réduction de l’éducation à l’école, au collège, au lycée, dans les universités, limitation de la pensée, surveillance systématique, généralisation de l’application par laquelle on devra s’identifier pour prendre un verre ou dîner dans un établissement laissé fermé longtemps pour mieux nous enfermer à domicile, les mesures sont prises au nom de la santé publique de la France et des informations faussées par Santé Publique France. Quelqu’un ose un discours contraire ? C’est un complotiste ! Tout ce qui permet d’endormir la lucidité des hommes est bon, ce qui menacerait de les éveiller doit être ridiculisé, moqué, caricaturé, censuré, y compris même par certaines presses, plus assujetties à des intérêts financiers qu’à une liberté d’informer.
Quelles mesures sont réellement prises pour venir à bout de ce virus, contagieux et peu mortel ? L’essentiel pour éviter une maladie, c’est déjà de renforcer son système immunitaire. Or, là, silence absolue. Et quand un médecin préconise vitamine D, vitamine C, zinc, sport et hygiène de vie, l’Etat, et avec lui les Etats européens et l’OMS, répond : vaccin. Quand, début 2020, le monde scientifique médiatique expliquait qu’il fallait entre 2 et 10 ans pour mettre au point un vaccin avec toutes les précautions et validations, là, en quelques mois, un florilège de fioles débarque sur le marché. Connaît-on pour autant les effets immédiats, à court terme, à 6 mois, à 1 an, à longs termes avec des rappels fréquents et réguliers ? Les laboratoires se veulent rassurants, la stratégie du gouvernement devient vaccinale pour éradiquer un virus qui mute hors saisonnalité, hors géographie, hors tout champ connu jusqu’alors, comme pour se moquer de ce qui pourrait être un cautère sur une jambe de bois. Mais ce cautère contribue à rassurer et endormir l’homme moderne. Or, ces vaccins sont tous encore en phase d’essai, à très grande échelle, certes. Et quand des médecins prescrivent un traitement (azithromycine, colchicine ou ivermerctine, par exemple) qui fonctionne au moins sur des malades en début de pathologie, la Direction Générale de la Santé interdit les prescriptions (voir en cela les témoignages du film « Mal traités » d’Alexandre Chavouet). Pourtant, plusieurs malades, traités par ces médecins hors ligne, ont réellement échappé à une aggravation de la maladie et ont tout simplement guéri. Là aussi, le système d’information étatique entre en marche. Les pharmaciens doivent signaler ces prescriptions, ces malades et ces prescripteurs.
C’est aussi le pouvoir de notre carte vitale, ancêtre plastique de la puce électronique que nous aurons sans doute tous bientôt sous la peau. Ce petit rectangle, qui garde en mémoire notre passé et notre actualité médicales, transmet des informations à une société privée, IQVIA selon Cash Investigation, quand les données médicales sont confidentielles et ne doivent être communiquées que volontairement à un personnel lui aussi médical. Mais ça, c’était avant le passeport sanitaire. Ce nouveau Sésame permettra sous peu d’accéder à des concerts, à des spectacles, à voyager hors des frontières. Nous serons contraints de fournir des informations médicales à des personnes qui ne sont pas des soignants, mais des privés. Où est le secret médical ? Quelle est la déontologie ? Le vaccin n’est pas obligatoire, mais sans lui, pas de passeport, pas de loisir, pas de vacances. Sans vaccin, ni passeport, c’est notre vie qu’on enferme. Les gouvernements européens entretiennent la peur d’être exclu du système et de ne pas avoir accès aux conditions du bonheur. Ce pass sanitaire devrait contenir les informations quant à la vaccination, à la guérison ou un test négatif de moins de 48h. Quand on sait que les tests manquent de fiabilité, la mesure est cocasse et prête à rire du manque de sérieux. Mais, là aussi, la mesure est stratégique. En multipliant les tests, même faux, on augmente le taux de positivité à la maladie et on justifie les mesures liberticides et contraignantes liées à la peur de mourir. Rappelez-vous : 0,025% de la population en 13 mois et demi. Le conditionnement collectif est en marche. Nous sommes 66 732 538 Français, otages d’une politique sanitaire qui dégrade notre santé et nos libertés.
https://www.crashdebug.fr/pass-sanitaire-pass-de-la-honte-claude-janvier