L’aviez-vous mémorisée ainsi la fondamentale recommandation 181 ?
« Le 29 novembre 1947, ne respectant pas leur Charte, sous l’influence conjuguée aux objectifs contradictoires de Truman, Staline, celle aussi de « la France » et, évidemment sous l’influence des sionistes de droite et de gauche de la planète (pas seulement futurs Israéliens) partisans d’un état exclusivement habité par des Juifs ou se croyant de vieille ascendance trimillénaire telle, trente trois pays membres de l’assemblée générale de l’ONU sur cinquante-sept (alors que d’autres auraient dû légitimement en faire partie) votèrent officiellement « Oui » pour la recommandation (seulement et pas la prescription contraignante), d’un plan de partage de la Palestine (sans consultation par referendum des autochtones). Une partition en trois territoires (et, en fait géographiquement, huit unités territoriales), dont celui à statut international des Lieux saints, clause absolument essentielle pour l’obtention de plusieurs votes, et clause que les sionistes n’avaient pas plus l’intention de respecter que les trois autres, un état juif, une état dit arabe et une union économique. Sachant que la majorité requise pour valider les votes de l’assemblée générale de l’ONU était des deux tiers (mais paradoxalement) des seuls votants « Oui » ou « Non », et que trois voix indispensables furent extorquées par chantage, alors que celles de quatre pays étaient, de fait, mues par le grand frère soviétique, et également qu’au moins deux autres voix de l’Amérique centrale (Costa-Rica et Guatemala) furent achetées comme en attestent des archives de l’anomalie étatique sioniste. Soit donc, en réalité, moins de 25 « Oui » sur 56 possibles.»
Evidemment ça n’est pas très court, ni succinct, par rapport à l’ultra-désinformant : « Novembre 1947 : l’ONU décide le partage de la Palestine en un état juif et un état arabe » ! Mais plus de brièveté entraîne automatiquement une conceptualisation erronée aux graves dépens des Palestiniens patriotes, parce que les sionistes invoquent constamment hypocritement leur légitimité sur la base de ce vote faussé que la Charte de l’ONU ne lui permettait pas de présenter comme l’a démontré le juriste palestinien également anglophone et francophone et porte-parole de la délégation arabe Henry Cattan.
Had you so stored the fundamental recommendation 181 this way ?
"On 29 November 1947, without respecting its Charter, under the combined influence of the conflicting objectives of Truman, Stalin, also of " France "and, evidently under the influence of the Zionist right and left of the planet (not only future Israelis ) in favor of a state exclusively inhabited by Jews or believers of old ancestry trimillénaire such, thirty-three member countries of the UN General Assembly on fifty-seven whereas others should legitimately be included) officially voted "Yes" to the recommendation (prescription only and not binding) of a partition plan for Palestine (without consultation with indigenous referendum). A partition into three territories (and in fact geographically, eight territorial units), including the international status to the Holy Places, Clause absolutely essential to obtain several votes, and a clause that the Zionists had no more intention to respect than the other three, a Jewish state, an Arab state called an economic union. Knowing that the majority required to validate the vote of the UN General Assembly was two-thirds (but ironically) of the only voting "Yes" or "No", and that three votes needed were either extorted or blackmailed, while those four countries were in fact driven by the Soviet big brother, and that also at least two other votes of Central America (Costa Rica and Guatemala) were purchased as shown by the records of the Zionist state anomaly. Thus actually, less than 25 “Yes” on 56 possible”.
Obviously it is not either very short or succinct compared to the ultra-disinformation "In November 1947: The UNO decides to partition Palestine into a Jewish state and an Arab state”! But more brevity is an automatic false conceptualization to the serious detriment of Palestinian patriots, because the Zionists constantly hypocritically invoke their legitimacy on the basis of this flawed vote that the UN Charter does not allow him to present as demonstrated by the both French and English speaking Palestinian who was also lawyer of the Arab delegation Henry Cattan.