Tout près du petit aéroport de Moorea se trouve une des plus belles plages de l'île, longue, au sable de corail fin et lumineux, baignant dans les eaux d'un lagon qui passe, le matin, après que le soleil est levé haut sur Tahiti, par tous les tons du vert et du bleu. On marche au bord de l'eau, ou dans l'eau.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Tout près du petit aéroport de Moorea se trouve une des plus belles plages de l'île, longue, au sable de corail fin et lumineux, baignant dans les eaux d'un lagon qui passe, le matin, après que le soleil est levé haut sur Tahiti, par tous les tons du vert et du bleu. On marche au bord de l'eau, ou dans l'eau. Voici deux femmes. Elles se promènent. Elles font tant bien que mal rouler une poussette à la lisière des arbres et du sable. Elles avancent. Le vigile les repère, se dirige vers elles. Ils s'arrêtent. Ils échangent quelques mots. Et les dames, dont le chapeau cache le visage, rebroussent chemin, avec leur poussette. Au-delà de cette limite (vous voyez ce grillage, qui s'arrête au niveau de la lisière? Vous le voyez bien puisque vous l'avez contourné. Il marque la frontière de deux mondes), on n'est plus à la plage mais à l'hôtel. Votre ticket n'est plus valable.
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