La vingtaine de personnes migrantes réfugiées à l’école Levot s’organisent afin de vivre le mieux possible en communauté. Il est même question de règles de vie et celles ci sont couchées sur le papier, en français dans l’attente d’être traduites.
La solidarité du voisinage, mais aussi d’habitué-e-s venant de loin (Lesneven par exemple!) et un grand apport de la part du Secours Populaire rendent plus supportable la vie dans ce qui reste une école désaffectée, et non pas une maison ou un appartement.
Les enfants scolarisé-e-s montrent une soif d’apprendre qui ferait rougir certain-e-s des nôtres blasé-e-s à la naissance par le spectacle télévisuel qui fait croire que chose vue, chose sue.
Si du côté de l’école Levot « çà va », quant est il des autres migrants dans la ville de Brest. Difficile de le savoir, les informations que détiennent certainement les pouvoirs publics semblent être classées secret défense. Les médias locaux ne diffusant pas de données au sujet des migrants, en dehors des « coups » médiatiques, où faut il se renseigner quand on veut savoir ce qui se passe réellement dans sa ville ?
Un des sujets de préoccupation de l’état est certainement cette migration, peut-être que l’ancienne réaction basée sur le chiffre des gens à renvoyer d’où ils viennent, qui était l’apanage du gouvernement précédent, peut-être que cette méthode disparait… espérons le.