EN COURS DE PREPARATION
Mon billet sur les méthodes de manipulation de l'opinion publique pratiquées au sein de la presse et en l'espèce à la rédaction du journal le Point parlant d'Hervé Gattegno, a été dépublié sur ordre de son avocat, indiquant que mon billet était diffamatoire alors que je reprends des informations parues dans certains journaux ainsi que des passages d'écoutes téléphoniques, je vais donc le réécrire en de sorte qu'il ne puisse pas être à nouveau dépublié !
Je voulais rappeler que le Procureur Courroye avait mis à jour ces méthodes alors qu'il enquêtait sur les affaires Elf, petrole contre nourritures, toutes ces affaires dans laquelle ont trempé les pseudo- socialistes, main dans la main avec les pasquiens et les profiteurs de l'Afrique ! Je rebondissais sur un billet écrit au début de l'affaire Sarkozy-Worth-Bettencourt (lien)
"Le 11 avril 2007, Franz-Olivier Giesbert, le directeur du Point, est entendu par la police pour la publication de l'article sur Safa. La société des rédacteurs du Point, dans un communiqué interne, s'est dite « consternée » et a demandé à la direction du magazine « qu'à l'avenir, ce genre d'informateur n'ait pas, comme c'était le cas, porte ouverte au Point ». D'autres journalistes ont été entendus dans cette affaire, dont le journaliste auteur de l'article sur Iskandar Safa , ainsi que l'ancien journaliste du Monde Hervé Gattegno, également auteur d'un article sur Iskandar Safa [4]. En mai 2007, le juge Jean-Christophe Hullin a remplacé le juge Courroye, devenu procureur à Nanterre, et a remis en liberté Marc Francelet, tout en le soumettant au contrôle judiciaire ".
Faire courir le bruit dans Paris(lien)
Samedi 24 mars, Marc Francelet aurait appelé Hervé Gattegno, lui aussi journaliste au Point, pour lui annoncer avoir l'intention de "faire courir le bruit dans Paris que Philippe Courroye est un agent de la CIA" au travers des affaires des ventes d'armes de l’Angola et de Total. Hervé Gattegno aurait alors expliqué à Marc Francelet vouloir écrire un article sur Total dans Le Point de la semaine suivante.
(lien )"16 octobre 2006, toujours le même bureau de la Place-Beauvau. Orsatelli sonne Nivaggioni pour lui parler du papier "Le gang qui fait trembler la Corse" que s’apprête à publier le magazine "le Point " (2) trois jours plus tard.. "T’avais un truc à dire ou à enlever […]pour l’article ?J’suis avec un de mes amis, là. Tu veux que je te le passe, comme ça y t’explique."