Monsieur Plenel,
Pourquoi ne pas avoir mis à disposition du public l'intégralité des articles pour faire connaître à tous la teneur des conversations ?
Le point a divulgué dans son article, une partie des conversations en prenant soin d'éviter de divulguer des passages génants pour le pouvoir !
Vous avez préféré verrouiller l'article, si Patrice de Maistre et Liliane Bettencourt , parviennent à faire interdire la parution de ces conversations, l'opinion publique ne comprendra pas la gravité de cette affaire de collusion, intolérable dans une République qui se respecte.
Une source vous remet des révélations d'utilité publique, il ne s'agit pas d'une enquête d'investigation, vous n'avez pas fait un travail d'information, puisque seuls les abonnés peuvent avoir accès à l'intégralité.
Je pense que vous êtes un homme guidé par "le complexe de premier de la classe", et votre égo.
Aujourd'hui vous jubilez puisque votre nom sera cité comme "victime" de la censure, une fois de plus vous avez tout gâché !
Si les conversations sont mises sous séquestres, les mis en cause pourront prétendre à des mensonges sans que nous ayons les passages de conversations à leur opposer pour mettre à mal leur mensonges !
L'assignation démontre l'inquiétude de ces vautours, quant à la divulgation d'autres conversations, il ne s'agit de protéger leurs vies privées, mais de parvenir à cacher leurs méfaits, afin que certaines informations ne parviennent pas au public.
Une partie des sombres manœuvres pour évincer la demande de protection de Liliane Bettencourt par sa fille, ont été mises à jour.
Le plus inquiétant est de constater que Nicolas Sarkozy Président de la République française à mis à disposition d'une bande de vautours , des réseaux de l'Etat, jusqu'au Procureur pour empêcher une fille fut-elle milliardaire, de protéger sa maman.
D'après cette analyse juridique,
Il semble que ces enregistrements pourront-être acceptés comme preuve par un juge, mais si un autre juge interdit leur divulgation dans la presse, le citoyen lambda n'aura pas accès à la teneur de ces enregistrements accablant le pouvoir.
Le journal le Point a donné accès sur internet à son article de jeudi dernier. Pourquoi ne pas avoir mis en accès libre les articles sur cette affaire , en pensant à ceux qui ne peuvent pas s'abonner, ou qui refusent d'enregistrer une carte bancaire ? !
J'aurai été votre source, j'aurai exigé que les articles soient accessibles à tous les internautes et non pas en petit comité !
NB
A ce jour, vous êtes assigné en référé, pour prévenir la censure d'une éventuelle décision du juge des référés.
Vous n'avez toujours pas mis à disposition de l'ensemble des internautes vos articles, pour qu'ils se propagent .