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Billet de blog 11 novembre 2010

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Affaire Sarkozy-Woerth Bettencourt,quand les barbouzes pasquiens et 1 RG passent par le Point pour manipuler l'opinion publique

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Mon billet sur le sujet a été dépublié à la demande de l'avocat d'Hervé Gattegno, je l'ai donc modifié.

Je vous recommande de recommander mon billet modifié(;-)

La justice s'est réveillée, au lendemain du vote de la réforme des retraites menée par Eric Woerth, ancien Ministre du budget, ancien trésorier de l'Ump, Ministre du travail.

L’affaire Bettencourt a éclaté au cours de l'été 2010, sans qu'un juge d'instruction, ne soit désigné. Aujourd’hui, trois juges ont été désignés.

Eric Woerth, sera t-il mit en examen pour collusion d'intérêt, et financement illégal de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy ? ...

Entre temps, le Procureur Philippe Courroye a perdu son honneur, pour les beaux yeux du pouvoir, qui semble le lâcher.

Il affirme avoir travaillé, et non pas étouffé cette affaire, mais il aurait dû se dessaisir de ce dossier, son nom était cité dans des enregistrements, il se savait discrédité.

A sa décharge, les enregistrements laissent penser que le Procureur essaie de régler la plainte de Françoise Meyers-Bettencourt, sans froisser la vielle milliardaire voire le pouvoir.

Il est déçu qu'elle refuse une expertise médicale, et n'a pas apprécié d'apprendre que Patrick de Maistre, le financier de Liliane Bettencourt a fais appel au service de Nicolas Sarkozy et ses intermédiaires.(lien)

Les avocats de Liliane Bettencourt en relation avec le conseillé de l'Elysée Patrick Ouart, sont informés en avance, du classement de la plainte de Françoise Meyers-Bettencourt.

Son enquête, sur la violation du secret de l'instruction, rebondissant sur les communications téléphoniques de la Juge Isabelle Prévost-Desprez, et son co-auteur, était fort mal placée, alors qu'aucun juge n'avait été nommé instruire, dans cette affaire à tiroirs. Dans le passé, Isabelle Prévost-Desprez et Phillippe Courroye, ont travaillé ensemble, depuis leurs relations se sont dégradées...(lien) (lien)

Lorsqu'il était Juge, Philippe Courroye avait mené à bien des enquêtes sur l'Angolate, (lien), les réseaux Pasqua, (lien) (lien) mettant à mal des des pseudo-socialistes, et des hommes de droite, et à l' extrême droite de Pasqua . Et d'autres affaires politiques (lien).

Je suis persuadée que le Procureur Courroye, n'est pas un homme corrompu. Mais je doute qu'un procureur, soit un homme "affranchi" du pouvoir.

Et je suis indignée d'entendre certains journalistes comme Hervé Gattegno et Franz-Olivier Giesbert cités dans une affaire d'articles de complaisance jouer les "victimes de barbouzes", quand certains barbouzes, faisaient écrire des articles orientés dans ce journal.

Sans compter le projet d'une tentative de destabilisation de Philippe Courroye, pour le faire passer pour un agent de la CIA, placé au pouvoir pour destabiliser les intérêts français.

Voir à ce sujet mon billet du 28 juin 2010 , dans lequel je me posais la question de savoir pourquoi le journal le Point, classé à droite, écrivait sur cette afffaire .(lien)

En regardant le grand journal de Canal+ (lien), j'ai trouvé risible que le méprisable, Franz-Olivier Giesbert, joue les victimes blasées, quant au vol de l'ordinateur d'Hervé Gattegno.

Alors, que la rédaction du journal le Point, servait de tribune aux pasquiens, aux marchands d'armes, aux voleurs de pétrole, à la mafia corse, pour des articles orientés.

Ces activités, sont aussi difficiles à prouver que les conflits d’intérêt...

L’enquête met à jour l’élaboration d’article de complaisance, et certains articles auraient été rémunérés.

Les écoutes prouvent que Marc Francelet annonce clairement, à Hervé Gattegno et, Franz-Olivier Giesbert qu’il va lancer dans la presse, la rumeur, que le juge Philippe Courroye, est un agent de la CIA, voulant déstabiliser les intérêts de la France.

Hervé Gattegno lui répond qu’il va faire un article sur Total.

« Marc appelle Hervé et lui rend compte d’une « folie » qui lui est venue : qu’il va « faire courir le bruit dans Paris que Courroye est un agent de la CIA » au travers des affaires de l’Angolagate et de Total. Gattegno explique à Marc qu’il va écrire un article sur Total dans Le Point de la semaine prochain »

Le compte bancaire de Marc Francelet,(lien) l’un des protagonistes de cette affaire, a révélé qu'il a été crédité progressivement, de 6 millions d’euros. Quand il est soupçonné d’avoir été rémunéré pour ses activités « de souffleur journaliste » et d'autres services.

Il allègue des prêts d’amis...

Franz-Olivier-Giesbert et Hervé Gattegno ne pouvaient ignorer la personnalité de Marc Francelet.

Cet article de Libération révéle, (lien) que Marc Francelet, aurait fais subir des pressions et des menaces sur Françoise Sagan, pour la faire payer 1.1 millions de francs à André Guelfi, afin d' éviter qu'un article soit publié dans le journal le Monde. Cet article n'aurait jamais existé.

Marc Francelet a aussi inspiré François Caviglioli pour écrire des romans noirs(lien)...François Caviglioli journaliste du Nouvel observateur, a écrit un article pour défendre bec et ongle Marc Francelet(lien)

En réalité, Franz-Olivier-Giesbert doit savourer sa vengeance sur le Procureur Phillippe Courroye.

Je ne suis pas persuadée que l’affaire du vol de l'ordinateur volé au journal le Point, ne soit pas une manipulation.

D'autant Hervé Gattegno était aussi cité et soupçonné, dans cette affaire de manipulation journalistique, pour avoir aussi écrit dans le journal Le Monde, un article de complaisance pour le marchand libanais Iskander Safa .


" Le 11 avril 2007, Franz-Olivier Giesbert, le directeur du Point, est entendu par la police pour la publication de l'article sur Safa. La société des rédacteurs du Point, dans un communiqué interne, s'est dite « consternée » et a demandé à la direction du magazine « qu'à l'avenir, ce genre d'informateur n'ait pas, comme c'était le cas, porte ouverte au Point ». D'autres journalistes ont été entendus dans cette affaire, dont le journaliste auteur de l'article sur Iskandar Safa , ainsi que l'ancien journaliste du Monde Hervé Gattegno, également auteur d'un article sur Iskandar Safa [4]. En mai 2007, le juge Jean-Christophe Hullin a remplacé le juge Courroye, devenu procureur à Nanterre, et a remis en liberté Marc Francelet, tout en le soumettant au contrôle judiciaire ".

Interrogé par la police à propos de déontologie, Hervé Gattegno a eu des réponses pleines de verve et de sel - entre autres, l’inoubliable " Le fait que M. Safa ait pris l’initiative de m’adresser un billet d’avion n’a aucunement porté atteinte à mon indépendance de journaliste "

Le but de ces articles kafkaiens, de complaisance, aurait été écrits pour redorer l’image, des hommes appartenant au réseau de Charles Pasqua registre : affaire Elf , pétrole contre nourriture, Angolate, vente d’armes, blanchiment d'argent, des volets des dossiers en charge à l’époque par le juge Philippe Courroye.

Le journal le Point a aussi servi à écrire un article dicté par par un RG, Christian Orsatelli. Comme le révèle des écoutes parues dans le Nouvel Observateur et le livre Guerre des polices et affaires corses.(lien)

Ce RG, sous les ordres de Bernard Squarcini, dans l'affaire d'Etat la SMS, qui inquiète le pouvoir, (lien) (lien)(lien)(lien)(lien)(lien), une affaire de de corruption, où se mélange l'Etat, les RG, le grand banditisme, le nationalisme, sur laquelle je reviendrais dans un prochain billet (lien) (lien), informait Antoine Nivagionni, assassiné il y a quelques jours.

Antoine Nivagionni, était soupçonnait de corruption, et devait-être jugé prochainement.

Dans cette affaire, le juge, s'est vu opposer le secret défense, l'arme ultime pour cacher sous le tapis, certains méfaits inavouables.

Extrait des écoutes téléphoniques, paru dans un article du Nouvel observateur.

(lien )"16 octobre 2006, toujours le même bureau de la Place-Beauvau. Orsatelli sonne Nivaggioni pour lui parler du papier "Le gang qui fait trembler la Corse" que s’apprête à publier le magazine "le Point " (2) trois jours plus tard. "T’avais un truc à dire ou à enlever pour l’article ?J’suis avec un de mes amis, là. Tu veux que je te le passe, comme ça y t’explique."

N'oubliez pas de recommander pour mon billet ;-)

(lien )

"Faire courir le bruit dans Paris"

Samedi 24 mars, Marc Francelet aurait appelé Hervé Gattegno, lui aussi journaliste au Point, pour lui annoncer avoir l'intention de "faire courir le bruit dans Paris que Philippe Courroye est un agent de la CIA"voulant destabiliser les intérêts de la France, au travers des affaires des ventes d'armes de l’Angola et de Total. Hervé Gattegno aurait alors expliqué à Marc Francelet vouloir écrire un article sur Total dans Le Point de la semaine suivante.

1. Quand Marc Francelet (lien) était placé sur écoutes

2. Mis en examen puis écroué depuis fin mars pour l’achat présumé par des personnalités d’articles de complaisance, le journaliste et homme d'affaires a été écouté par la police. Extraits de conversations avec des journalistes, au cours desquelles il tente de faire passer le juge Courroye pour un membre de la CIA.

Le juge Philippe Courroye

L'hebdomadaire satirique Bakchich a publié, vendredi 27 avril, un verbatim de plusieurs écoutes policières menée sur le journaliste et homme d'affaires Marc Francelet, mis en examen puis écroué le 29 mars pour l’achat présumé par des personnalités d’articles de complaisance dans des médias français.

Le journaliste aurait aussi appelé Loïk Le Floch-Prigent, l’ancien patron d’Elf, un de ses proches , pour se vanter de sa campagne de presse anti-Courroye :

- Marc Francelet : Moi, je dis maintenant que Courroye est un agent de la CIA qui est là pour déstabiliser nos intérêts français aussi bien dans l’affaire Falcone et Gaydamak.

- Loïk Le Floch-Prigent: Bien sûr que si ! Mais qu’est-ce que tu crois ! C’est là que des journalistes comme Gattegno et toi éventuellement, vous faites du tort. Parce que vous ne vous rendez pas compte que tous ils sont pareils. Ils ne respectent aucune procédure ! Ce que je voulais te dire : si jamais tu veux m’aider il faut mettre dans le même moule tous les juges. C’est-à-dire Van Ruymbeke est du même type que Courroye. Fous toi ça dans le crâne !

Samedi 24 mars, Marc Francelet aurait appelé Hervé Gattegno, lui aussi journaliste au Point, pour lui annoncer avoir l'intention de "faire courir le bruit dans Paris que Philippe Courroye est un agent de la CIA" au travers des affaires des ventes d'armes de l’Angola et de Total. Hervé Gattegno aurait alors expliqué à Marc Francelet vouloir écrire un article sur Total dans Le Point de la semaine suivante.

(lien)F : Ouais. On n’a pas assez soutenu Van Ruymbeke (Renaud, autre juge du pôle financier, ndlr) finalement. Je vais lui en parler à Franz (Franz Olivier Giesbert, dit FOG, directeur de l’hebdomadaire Le Point, ndlr). Parce que là il commence à me casser les couilles Courroye. Il essaye de me mettre du blanchiment d’argent, cette espèce d’ordure…

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2007/04/11/franz-olivier-giesbert-entendu-par-la-police-au-sujet-de-l-achat-d-un-article-complaisant_894792_3236.html

"Franz-Olivier Giesbert, directeur de l'hebdomadaire Le Pointt, a été entendu comme témoin par la police, mercredi 11 avril, au sujet d'un article complaisant paru en 2005, qui aurait été acheté par un milliardaire libanais Iskandar Safa recherché par la justice."(lien)

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