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Billet de blog 15 décembre 2010

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Pierre Bergé et Louis Dreyfus, nouveaux maîtres du « Monde »ou quand les banquiers achètent la presse de gauche

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Le conseil de surveillance a par ailleurs entériné l'arrivée de Louis Dreyfus au Directoire du groupe où il doit succéder à David Guiraud comme directeur général du groupe Le Monde.

Louis Dreyfus est par ailleurs directeur général des Inrockuptibles et homme de confiance du banquier d'affaires Matthieu Pigasse,(lien) l'un des trois nouveaux actionnaires majoritaires du groupe Le Monde.(lien)

En 2005, Matthieu Pigasse organise la vente de Libération à Édouard de Rothschild, actionnaire de la maison concurrente de Lazard. En 2007, il tente, dans le sillage d'Alain Minc, de s'emparer, sans succès, de la présidence du conseil de surveillance du Monde

Laurent Joffrin est en train d'infiltrer habillement Edmond Rothschild nouveau citoyen d’Israël, au capital du Nouvel observateur à hauteur de 30% (Lien)

Bernard Henry Levy est actionnaire et membre du Conseil de surveillance de Libération, et à présent, il est membre au conseil de surveillance du monde.

Pierre Bergé était de la fête au café de Flore(Lien).

Pour ceux qui s'interrogent de la propagante" pornagraphique" dans la presse gauche, nous vendant Dominique Strauss Khan comme l'unique candidat, il faut comprendre que Mattieu Pegasse est proche de Laurent Fabius, Dominique Strauss Khan et Bertrand Delanoë...

Il ne s'agit pas de défendre Eric Fottorino, mais de démontrer la main mise des banquiers sur la presse de gauche, et la mise en place" des amis de DSK et de la gauche caviar du PS", qui est revenue devant la scéne après avoir éliminé Ségolène Royal de la présidence du PS.

Il ne faudra pas pleurer, si le FN se retrouve un jour au second tour, où si les enfants de Pétain demandent, un jour des comptes, à " l'oligarchie française" et à ceux qui continuent de se gaver dans l'antre des chambres du pouvoir, malgré les leçons du passé .

Ceux la même qui fustigent le populisme, en sont les créateurs.

Denis Kessler, président du Siècle, président-directeur général du groupe SCOR, fait la leçon aux détracteurs du "Club du siècle" Un exemple type de la fumisterie ambiante, qui crie au populisme en nous prenant de haut et pour des imbéciles, dès qu'ils sont miS à nus

(LIEN)

"Les accusations complaisamment véhiculées seraient profondément risibles si elles n'étaient le symptôme d'une grave dérive qui caractérise notre époque : l'obsession du complot, la recherche du bouc émissaire, bref, le populisme sous toutes ses formes. Et la perversité veut qu'aujourd'hui le populisme s'habille d'une soi-disant recherche de "transparence"



Le Siècle, club des élites françaises.
envoyé par 54fiorentino54. - Regardez les dernières vidéos d'actu. Pierre Bergé et Louis Dreyfus, nouveaux maîtres du « Monde »(lien)


Le banquier Pigasse aimerait inviter Orange dans le journal «Le Monde»(lien)

Pour ceux qui peuvent trouver le livre écrit par la journaliste Martine Orange

Le Mot de l'éditeur : Ces messieurs de Lazard

Entre Paris, Londres, New York, ce fut longtemps « la banque ». Un monde mystérieux où le pouvoir et l'argent s'entremêlent. Car Lazard, c'est plus qu'une banque d'af-faires qui a tout réinventé, les OPA, les fusions et autres raids boursiers. C'est aussi un réseau unique de personnalités qui s'entraident ou se tuent selon leurs intérêts à l'échelle planétaire. Martine Orange, qui a décrit l'effondrement de Vivendi dans Une faillite française, nous fait pénétrer dans le sérail. Celui des financiers mais aussi des patrons de multinationales et des ministres.
Comment la banque a-t-elle échappé à la nationalisation en 1981 ? A-t-elle eu des fidélités successives avec ses clients ? Sur quoi reposait l'immense influence de Michel David-Weill, l'homme qui la dirigea pendant trente ans ? Pourquoi sa succession, confiée au redoutable Bruno Wasserstein, s'est-elle déroulé dans un climat d'une telle violence ? Quel rôle a-t-elle joué dans l'ascension de grands PDG comme Antoine Riboud autrefois ou plus récemment de Bernard Arnaud ?
Un reportage passionnant, une enquête impitoyable, et une analyse de l'intérieur - car beaucoup de ces financiers ont accepté pour la première fois de témoigner - sur un demi siècle d'un capitalisme de plus en plus débridé.

Présentation de l'éditeur

A trop vouloir surfer sur la vague people, c'est un raz-de-marée qui a submergé la classe politique française. Avant de devenir objet de dérives, l'intimité des puissants a été dans leurs mains une arme redoutable. Comment a-t-elle été exploitée ? Pourquoi les médias l'ont-ils protégée ? En tout état de cause, cette " intimité publique " est un continent aux frontières mouvantes et insaisissables. A travers une enquête nourrie de nombreuses anecdotes, les auteures invitent à prendre du recul dans la course effrénée de l'actualité. On arpente avec elles les coulisses du pouvoir où se tiennent des conversations qui dévoilent à demi-mots un système de réseaux et de favoritisme décomplexé. Fausse pudeur, manipulations, " transparence " affichée d'un monde où le mérite se résume parfois à un nom, une école fréquentée, un réseau d'amitiés ou une aventure amoureuse. Ou comment l'intimité des puissants se mêle à leurs activités politiques, brouillant la limite entre vie publique et vie privée. Déstabilisant des électeurs à la fois choqués et fascinés. Et des médias en quête de nouveaux repères

Je vous recommande, mon billet

"Lorsqu'un gouvernement OU UN JOURNAL est
dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les
dirigeants du gouvernement OU DU JOURNAL qui contrôlent la situation,
puisque la main qui donne est au dessus de la main qui
reçoit. [...] L'argent n'a pas de patrie; les financiers n'ont pas de
patriotisme et n'ont pas de décence; leur unique objectif est
le gain."

Napoléon Bonaparte (1769-1821), Empereur

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