Hier 16 septembre 2010, nous avons assisté en direct, à un déni de démocratie sans précédent, nos députés ont été muselé par le Président de l'Assemblée.
Les proches de Nicolas Sarkozy,oeuvrent pour contourner,détourner et corrompre les lois à leur avantage.Quand Accoyer a interdit aux députés de l'opposition d'utiliser un moyen de s'exprimer pour marquez leur refus d'une réforme de la retraite inacceptable en l'état, en le jugeant dilatoire.
Ce fait scandaleux ne dois pas rester impuni. Ce gouvernement dont la garde rapprochée de Nicolas Sarkozy est composé de menteurs, de voyous, pratiquent sans complexe, l'abus de pouvoir, le détournement de nos lois , de corruption, de nos libertés, à des fins personnelles.
Nous assistons à la consécration de la République des coquins et copains.
Le 23 septembre 2010 une nouvelle manifestation est prévue dans les rues de France.(lien)
Comment le fils du patron de la police a échappé aux poursuites.
Frédéric Péchenard, le directeur général de la police nationale, serait intervenu alors que son fils, âgé de 16 ans, avait été interpellé pour état d’ivresse et insultes à agent. Pour trouver la source qui a fourni les pv de police à la presse, une enquête interne a été lancée (lien).
Violette Lazard
Présenté comme l’homme qui a ordonné l’enquête des services secrets sur les fuites dans la presse dans l’affaire Bettencourt, Frédéric Péchenard, le patron de la police française, doit affronter un tout autre dossier.
L’histoire remonte au 17 février 2009. Une plainte est déposée en bonne et due forme par un gardien de la paix parisien pour outrage à agent à l’encontre du fils de Frédéric Péchenard, alors âgé de 16 ans.
La suite de l'article à lire par ce lien (lien)
AFFAIRE PÉCHENARD - Une enquête interne a été lancée (lien)
Une enquête interne sur "l'affaire Péchenard" est lancée. Selon nos informations, la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) a été saisie du dossier. Elle tente de découvrir qui a fourni aux journalistes du Parisien/Aujourd'hui en France une copie des procès-verbaux, dans une affaire compromettant le fils de Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale (DGPN). Le quotidien révèle dans son édition de jeudi comment le patron de la police, présenté comme celui qui a ordonné l'enquête sur l'origine des fuites dans le dossier Bettencourt dans le journal Le Monde, serait intervenu en février 2009 afin d'éviter des poursuites à son fils, interpellé sur les Champs-Élysées (8e arrondissement) pour état d'ivresse et outrage à agent.
Les p-v de cette affaire étaient pourtant, selon nos informations, gardés dans le coffre du commissariat du 8e arrondissement. La DSPAP a entendu tous les commissaires qui se sont succédé dans le 8e depuis février 2009. Elle s'intéresse également à une réunion qui a eu lieu entre officiers durant laquelle l'affaire du fils Péchenard aurait été évoquée.
Par ailleurs, le procureur de Paris Jean-Claude Marin, qui a découvert en lisant Le Parisien que le fils du DGPN s'était fait contrôler et avait outragé des policiers, a demandé qu'on lui communique l'ensemble des procès-verbaux. Pourquoi un an et demi après les faits les P.V. ont-ils ressurgi le jour de l'anniversaire du fils de Frédéric Péchenard ? Certains y voient la possibilité d'un règlement de comptes entre barons de la police.
"Oublier l'événement"
Les faits remontent en effet au 17 février 2009. Ce soir-là, sur les Champs-Élysées, les policiers remarquent "un scooter de couleur rouge faisant des slaloms et des dérapages sur le trottoir". L'adolescent âgé de 16 ans conduisait avec un taux de 0,79 mg/l d'air expiré, le taux toléré par la loi est de 0,25 mg/l. Lorsque les policiers veulent l'interpeller, le jeune homme lance à l'un d'entre eux : "T'es qu'un con, tu fais un métier de con, je vais te faire muter à la circulation (...). Je vais t'exploser, t'es qu'une merde !"
Conduit au commissariat du 8e, le fils de Frédéric Péchenard n'aurait été ni placé en garde à vue, ni auditionné, comme le veut la procédure. Le parquet n'a pas été non plus informé de cette affaire. "J'ai reçu pour consigne de Monsieur X de ne pas placer l'interpellé en GAV (garde à vue, ndrl), de ne pas aviser la permanence de nuit du parquet, de ne pas auditionner le mis en cause (...)", déclare notamment un fonctionnaire de permanence dans un rapport interne au commissariat. Le policier qui s'est estimé outragé dépose toutefois plainte contre l'adolescent.