Comment on arrive des violences conjugales aux placements d'enfants, par étape

Comment on arrive des violences conjugales aux placements d'enfants, par étape :
1. On est victime de violences conjugales
2. On décide qu'on veut mettre fin à ces violences conjugales
3. On va voir un/des "professionnel.s" (assistante sociale, etc) afin de lui demander de l'aide pour mettre fin aux violences conjugales (un peu comme dans les pubs qu'on voit un peu partout et qui conseillent aux victimes de violences conjugales de demander de l'aide)
4. Les "professionnels" (assistantes sociales, éducatrices, etc) censé.e.s aider les victimes de violences conjugales font un signalement / information préoccupante, afin de signaler que l'enfant / les enfants vivant dans la famille concernée par les violences conjugales est / sont en danger, vu les violences conjugales. À qui la faute ? La faute est bien évidemment à la victime des violences conjugales, car la victime n'a pas quitté le domicile conjugal plus tôt. La (seule et unique) solution proposée par ces "professionnels" de la protection de l'enfance? Le placement de l'enfant / des enfants en structure / famille d'accueil, "afin de mettre l'enfant en sécurité".
5. Comme d'hab, le juge suit bien évidemment les "précieux" conseils de ces "merveilleux" "professionnels" et decide le placement de l'enfant en structure ou en famille d'accueil.
6. Jackpot :  l'association / fondation de soit disante protection de l'enfance qui a conseillé au juge pour enfants le placement de l'enfant gérera, dorénavant, le placement de l'enfant et encaissera, par conséquent, l'argent que le Conseil Départemental lui versera pour ce faire (entre 7000 et 20000 euros par mois, par tête d'enfant placé ). Cette même association / fondation fera tout son possible, notamment par le biais de ses rapports mensongers, pour garder le jackpot, pardon, l'enfant, un maximum de temps (jusqu'à ses 18 ans, dans l'idéal), afin d'encaisser un max de pognon pour la prise en charge du jackpot, pardon, de l'enfant.