Le travail : Joie d'offrir, plaisir de recevoir

Passé la question des définitions impossibles, je m'en remet aux citations qui me semblent indépassables : Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin. En effet fatigué le soir et occupé par l'attention, rémunéré selon un contrat il y a bien éloignement et je crois que ce mot est exact car il propose une direction sans en donner forcément de but, seulement il permet aussi de montrer qu'on peut s'ennuyer ferme au travail tout en ayant une activité soutenue et intense, et subir la violence de rapports managériaux conduisant à la répercuter en violence sur soi ou sur autrui, et l'apparition d'un salaire minimum est le fruit d'un combat qui n'est jamais acquis et s'est fait au prix de condamnations à mort, la question est donc sérieuse, l'armée intervient toujours en cas de gréve pour remplacer les bus, et puis à un moment pour tirer sur la foule pour que les choses rentrent dans l'ordre. En cas de révolution, dont les nôtres sont très romancées, il faudrait rappeler les adages politiques qui sous tendent l'institution de ces rapports de force, ceux de l'animal politique, écraser ou caresser. Moi aussi je comprends que l'on s'épouille mutuellement toute la journée pour entretenir un apaisement des tensions et permettre une communauté, il faudrait réinstaurer un matriarcat, du moins pas par les moyens classiques, en effet on constate un chantage basé sur la violence de mâles dominants, mais ils pratiquent une compensation affective propre à tout mammifère, une gréve du sexe serait un moyen de faire accéder nos dirigeants à plus de responsabilité ? J'entends par ce principe le sens véritable et non le jeux des passe-droit, la responsabilité s'imposant à nous elle n'est plus invoquée que dans sa forme de course aux postes et aux honneurs, pour cacher la corruption qui sous tend un système oligarchique. En effet prenons le cas du viol comme pratique qui s'attaque principalement à ce qui est considéré comme un patrimoine, les filles sont en général mariées de force avant 15 ans, alors que par exemple même les gorilles mâles (oui c'est une comparaison animalière) ne font pas les fiers et demandent souvent avec beaucoup de patience le consentement femel, alors que de nos jours c'est un achat, un placement, une dote, hors mariage point de salut, et ce qui se passera dans le ménage sera tut car l'argent comptera essentiellement pour des raisons simples et évidentes de survie ou d'esclavage dit moderne. Ensuite il y a la fabrication d'enfants soldats par nos écoles dites d'excellence, séquestrer durant toute sa jeunesse un enfants pour qu'il devienne banquier ou ingénieur a des répercutions sur sa vie, ensuite il doit faire carrière et on assiste à l'apparition d'un contrôle social comme par exemple celui des grands corps d’état, les ponts pour Élisabeth borne, inspection des finances pour Emmanuel macron, ces sectes maléfiques contrôlent tout état comme entreprises, et on a l'impression que leur vie est dédiée à un retraite exhibée en quintessence de la belle vie, or ils ont gâché toute la leur pour ne vivre qu'entre 75 et 95 ans, vous voyez que la mort les fascine, plus ils en sont proche plus ils sont rassurés, c'est un peu le discours d'un guerrier qui révère les dieux, l'au delà garanti des braves et toutes ces fariboles manipulatrices du sens et déshumanisantes qui se résument à marche et crève. Ils sont le contraire de l'incarnation de la vie et on reproduit ce système en le camouflant derrière des appellations vertueuses pour mieux en cacher le vice. Même un cheval ou un chien vous démontrera qu'on utilise pas un fouet, ni un chantage, que la vie est générosité.