La question n'est pas de convaincre mais d’assener de la propagande qui vise les émotions, qu'aucun chiffre ni logique ne viendra détourner.
Normalement tout individu repère au premier coup d’œil une contre-vérité et pourtant la crise actuelle repose entièrement sur ces influenceurs qui ont colonisé les espaces de notre cerveaux.
Personne ne détient la vérité on devrait pourtant le savoir, donc on a tranquillement une situation dans laquelle une partie de la population dénonce avec véhémence le confinement et toutes les mesures en dehors de celles pratiquées habituellement comme se moucher proprement, se laver les mains et de l'autre on a un concert d'anathème en irresponsabilité, qui est comme le fredonnement d'un refrain psalmodié sans relâche puis accepté comme vérité, c'est l'émotion qui l'emporte toujours dans ces médias qui connaissent leur pouvoir d'influence.
Aujourd’hui encore j'ai vu dans Libération un médecin traiter de "négationnistes" ceux qui nient le terme de catastrophe à la situation sanitaire et les évaluations délirantes de Delfraissy qui nous affirme qu'il y a eu moins d'accident de la route pendant le confinement sans un once d'impression de se foutre de nos gueules...pardon, de se moquer de nous.
Pourtant c'est ce terme de catastrophe et surtout cette crédulité massive qui est grave, ce qu'il faut faire c'est dénoncer ces agissements, les propos, les intimidations immondes, et supporter cette tendance si humaine à la crédulité.
On ne va pas en effet accuser le gouvernement et sa démagogie, ce serait ignorer de quoi la politique et l'histoire sont faites, ni internet qui n'est qu'on outil nouveau, ce qui est en question et pose problème était déjà bien avancé avant, en effet une formation au décryptage de l'influence télévisuelle ne va pas de soit, alors le flot internet n'en parlons pas...
Je m'étais procuré dans les années 90 des documentaires réalisés par Pierre Carles. Ces documents portent sur la manipulation des images par les médias et quelle sont les limites que nous devons construire dans notre esprit pour nous assurer de ne pas devenir des frigos à sodas.
Cet apprentissage permet lorsqu'il est bien compris de lui confronter tout ce que nous avions jusque là acquis comme certitude et c'est très dérangeant.
En effet l'information est perçue comme une vérité absolue, on l'observe pourtant mais bizarrement personne ne s'offusque qu'un journaliste soit sans contradiction ou au contraire impose sa propre vision selon que son invité est proche ou non du pouvoir.
Ce que l'on constate c'est que même sur internet il n'est pas possible de remettre en question l'information officielle et cela doit nous faire réagir pour comprendre que c'est chez nous que cela se joue et non dans les médias, ils ne changeront jamais leur but est de créer une telle influence que nul n'aurait la possibilité de remettre en question leur parole.
D'ailleurs il ne suffit pas de le dénoncer, il faut s'en préserver, mais le piège est terrible car ce n'est pas le pouvoir que vous combattez mais ceux que vous essayez de convaincre, ils sont tout d'un coup vos ennemis car ils vous jugent conspirationniste, certains mots sont devenus imprononçable et pourtant on parle de liberté de penser.... Jusqu'à ce que tout le monde se mette à crier et hurler comme actuellement avec le covid mais bientôt avec pire j'en suis sûr.
Des auditeurs captivés par le chant des sirènes qui servent d'armée de censeurs.
Cela fonctionne à plein et ne se résout pas par la création d'une opposition frontale, c'en est même le but.
Aussi et comme le terme réflexion est une formule élégante pour désigner le fait de pouvoir dire qu'on a changé d'avis, j'apporte à celles à ceux qui auraient la curiosité de se confronter avec d'autres points de vue, plus rares et à défendre : La situation en Suède sans masque ni confinement et comment comprendre pourquoi on se laisse tant influencer facilement et d'autres découvertes éclairantes sur les erreurs de raisonnement.