Plusieurs commentaires:
1) La critique est aisée, l'art est difficile. Après le Sarkozy Baching (j'aimais bien à l'époque), le Hollande's one! La crise est vieille comme ma première paire de chaussures (que je ne porte plus), mais nous continuons à nous enfoncer dans celle de 2008. Si j'avais été au pouvoir en 2012, j'aurais été trop content de le refiler à d'autres. Il n'est d'ailleurs pas dit que la droite, en 2017, tirera les marrons du feu au cas où elle accéderait à nouveau au pouvoir supprême.
2) Thérorie du complot.
Vous ne m'empêcherez pas de penser qu'aussi bien de droite ou de gauche, tous ces hommes politiques mangent dans la même gamelle. Nous savons d'ailleurs tous très bien qu'après un bon débat, chacun des protagonistes, hors caméra, tape dans le dos de l'autre, avec, en commentaire "t'as bien joué le coup" (ils se tutoient tous). Donc, pour moi, ils sont de mèche. En 2012, il fallait bien un PS pour faire avaler les couleuvres du libéralisme. Mais apparemment, ça ne marche plus. Au moins, cette quaricature de l'exercice du pouvoir devrait nous dégouter pour longtemps de l'amateurisme présumé et démontré de la gauche toute confondue.