Le devoir de l’heure le plus élémentaire

Le devoir de l’heure le plus élémentaire, le plus urgent et le plus évident, même s’il est encore assez difficile, aux gens âgés et de santé mauvaise au nombre desquels il me faut me compter, de voir comment le faire concrètement, c’est d’apporter un soutien total aux Soulèvements de la Terre, et de proclamer, pour commencer, sa totale solidarité avec les Soulèvements de la Terre, ce que je fais ici en toute modestie, et pour la part modeste de faculté d’élocution qui me revient. Comme je l’ai déjà suggéré, c’est là désormais que ça se joue vraiment. À l’évidence, tout le reste, inutile à détailler, est trop mou et trop lent. Les dispositions exorbitantes prises par l’État pour protéger directement des prévaricateurs, pour en dire le moins, comme, présentement, Lafarge, témoignent suffisamment de l’importance de l’enjeu: les Soulèvements de la Terre ne se trompent ni de cible, ni d’objectif. Quant aux moyens: en reste-t-il d’autres? Qu’on y réfléchisse! Et qu’on passe à la conclusion. Au demeurant, il faut s’attendre, en parallèle, à un lavage de cerveau médiatique en règle, et en ligne, et en tout ce qu’on voudra, de la population, par la propagande gouvernementale, dont les moyens sont connus. Vigilance. Solidarité. Résistance.