(soit dit en passant)(dans un cul de basse-fosse)(c’est du français, pas de l’injure)

Au téléphone l’autre (?) jour évoquant la faveur dont mes menus badins propos jouissent (?) en ce bas monde (bas monde / bad trip ?), je m’entendis, par l’amie consultée, (du genre de celles qui restent, pas qui s’enfuient), (en ce qui poor myself concerne: genre rarissime), je m’entendis répondre, ou rétorquer, une élémentaire vérité, d’une bien frappée manière comme j’aime: « les gens n’aiment pas être offensés ». Certaines phrases très simples ont plus de radiance que d’autres. Une vie concevoir se peut à leur chasse, mais pas à courre. « N’aiment pas ». Très bien. S’en foutent complètement. Encore mieux. Mais où est l’offense? Sous le tapis? Sous le seuil? Sub limine. Limen ce n’est pas « limonade tout était si infini », c’est le seuil, celui qu’on foule, seul, ou en foule, (pas la célèbre maison d’édition). (Les gens, les gens, fôtou leur S-pliquer!) Donc compléteré-je, Rémi: « n’aiment pas être offensés subliminalement non plus », que vient faire ici Rémi? c’est fa-sol à gompe rand dans cette grande randonnée. Boîte noire: de tous mes stupides billets, stupide le plus est celui-ci, « au présent comme si j’y étais » (S.B. qu’on ne nomme plus). Bien. Y sommes-nous? Presque. Il y a aussi ça: on est si déprimé par l’époque qu’en dehors de ses intérêts les plus immédiats, on ne peut plus s’intéresser à rien. Enfin une phrase dans l’ordre normal! Boîte noire: l’inversion ci-dessus des membres de phrase relève, non pas de la préciosité cuistre (avis en nos colonnes quasi unanime), mais du « joke », « concept » auquel les 130 billets qui précèdent ce bollet de petit satanas sont «dédiés » (« transversalement, sur site »). J’ai bien le droit, non? de faire dans le « concept », bien que n’étant pas «communicant »? Hein? Parlez plus fort! Ah oui! D’accord! Je conclue, vite je gong-glue: «n’aiment pas »…  « n’aiment pas », ok! ok! - mais pas la peine quand même de rester comme DEUX RONDS DE FLAN DANS LA BOÎTE À GANTS. Boîte noire: j’essaierai d’être moins con dans la suite de mon propos sur les Roues, dans la Vision du Prophète Ézéchiel. Parole!