Il reste peu à dire.

Sinon qu’il va falloir vivre ces cinq autres années. Ou pas. Des deux Malfaisants en tête, « je ne trouve rien à dire »(Karl Kraus); qui n’ait été dit; en vain. Toutes choses égales d’ailleurs, reste la peur; inégalement partagée; diversement nuancée. « À la fin, c’est la mort qui gagne », aurait dit, paraît-il, Staline(à André Gide): platitude. De temps en temps, c’est la peur qui vote; diamétralement opposée au « von Zeit zu Zeit wird gezaubert » de Nietzsche(de temps en temps, on fait de la magie…) Qu’est devenu le camp progressiste? 20%, 25%…, peut-être parce qu’il reste moins de progrès que d’enlisement. The grip…the grip…le grappin…cramponnez-vous! Bernanos: le Jugement Dernier a déjà eu lieu, mais nous ne le savons pas. Sentence! Sentence(Chalamov).