Mot venant du nom grec de la lettre que nous appelons ykkss, qui se dit « chi » et se prononce « khi », mais à ne pas confondre avec kappa, kê notre kā, ce qui n’est pas le cas du Ka, mais alors c’est quoi, xiasma? C’est un chiasme, qui ressemble un peu à un chassé-croisé, cousin très éloigné d’un croisé chassé par un chasse-neige.
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L’expérience nous montre(ce sont des voix qui l’affirment, venues d’en haut, venues d’en bas, mais venues aussi du milieu? qu’en pensez-vous? tendez l’oreille!) que les extrêmes se touchent. C’est bien observé. Mais permettez-moi de vous demander une précision: comment au juste se touchent-ils, les extrêmes? Du coude? Par la barbichette? Je vous donne un ex hampe: si, d’après l’expérience (aussi), les technocrates progressistes sont des conservateurs de gauche, et souvent des faucons, font-ils, ou non, la farandole, à droite, avec les réactionnaires pacifistes révolutionnaires? Vous renoncez à me suivre? C’est peut-être qu’ensemble, nous ne sommes pas encore entrés dans la danse; mais ça se trouvera peut-être encore! Permettez-moi donc de prådh la liberté d’un autre ex-ample: nous vivons, sinon une époque ixtra ordinaire, du moins des événements peu communs; serait-ce parce qu’ils sont devenus si répandus que nous persévérons dans le prosaïsme le plus inflexible, et l’immarcescible vulgarité?
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