André Bitton pour le CRPA (avatar)

André Bitton pour le CRPA

Président du Cercle de réflexion et de proposition d'actions sur la psychiatrie (CRPA), ancien président du Groupe information asiles (GIA), ex-psychiatrisé.

Abonné·e de Mediapart

31 Billets

1 Éditions

Billet de blog 14 septembre 2012

André Bitton pour le CRPA (avatar)

André Bitton pour le CRPA

Président du Cercle de réflexion et de proposition d'actions sur la psychiatrie (CRPA), ancien président du Groupe information asiles (GIA), ex-psychiatrisé.

Abonné·e de Mediapart

Question écrite à la ministre de la santé, Marisol Touraine, sur la défense, par son ministère, de la loi du 5 juillet 2011

André Bitton pour le CRPA (avatar)

André Bitton pour le CRPA

Président du Cercle de réflexion et de proposition d'actions sur la psychiatrie (CRPA), ancien président du Groupe information asiles (GIA), ex-psychiatrisé.

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

 Voir aussi sur le site du CRPA : - http://psychiatrie.crpa.asso.fr/262 /

 - Sur Médiapart, un article précédent : http://blogs.mediapart.fr/blog/andre-bitton/230612/la-ministre-de-la-sante-socialiste-et-son-administration-defendent-mor

 Source (site de l’Assemblée Nationale) : http://questions.assemblee-national... 
           
 
14e législature

Question écrite No : 4258, de Mme Jacqueline Fraysse ( Gauche démocrate et républicaine - Hauts-de-Seine ).

Ministère interrogé : Affaires sociales et santé.

Tête d’analyse : maladies psychiatriques.
Analyse : loi no 2011-803 du 5 juillet 2011. Mise en œuvre.

Question publiée au J.O. le : 11/09/2012.

Texte de la question :

Mme Jacqueline Fraysse attire l’attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le mémoire émis par ses services le 6 juin 2012 contre une requête en annulation du Cercle de réflexion et de proposition d’action sur la psychiatrie.

Cette requête porte sur le décret no 2011-846 du 18 juillet 2011 concernant l’application de la loi du 5 juillet 2011 relative aux « droits et à la protection des personnes faisant l’objet d’une prise en charge psychiatrique » et dénonce la vision sécuritaire de la psychiatrie portée par cette loi. Ce faisant, elle s’appuie sur les arguments avancés par les parlementaires de l’opposition lors de l’examen de ce texte, conduisant à leur vote négatif le 15 mars 2011.

Or le mémoire actuellement présenté au nom du ministère de la santé reprend dans ses grandes lignes la position sécuritaire de l’ancien gouvernement.

Elle s’étonne de ce manque de cohérence. Elle lui demande donc quelle est sa position concernant ce texte qu’elle a vivement combattu lorsqu’elle était dans l’opposition.

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

L’auteur n’a pas autorisé les commentaires sur ce billet