Décidément, je me demande si le conseil général del'Isère, à tout l emoins ses présidents, ne sont pas sous l'emprise d'une influence maléfique. Dont malheureusement les victimes ne sont pas les élus mais une partie des électeurs.
On sait à qui l'on doit -en partie- la fabuleuse trouvaille d'un "Center Parc dans les Chambarrans" et le pataquès qui s'en suit. Merci donc à Monsieur "je suis partout " (dans le journal du conseil général, comptez le nombre de photos du grand homme par numéro du temps de sa présidence, un vrai culte de la personnalité!) qui a légué une belle patate chaude à son successeur.
Or voilà donc ce président -encore presque neuf- qui se fend dans son éditorial au numéro 150 de "Isère Magazine" (mars 2015) d'une apologie du droit des femmes en quelque sorte. Oui, on a bien lu, et si besoin est, qu'on se reporte au document du même journal (consultable en ligne -surtout l'édito avec photo- en tapant Isère magazine mars 2015). Comme si de rien n'était, comme si les roumaines et autres exploitées n'existaient pas dans le département!
En ces temps de fortes turbulences politico-météorologiques, je me dis que le Conseil Général, enfin ceux qui tiennent le haut du pavé et du crachoir lorsque les vents sont porteurs, doivent être sous une mauvaise influence, et je ne serais pas loin de soupçonner les agissements d'un quelconque Satan des marais ou des Terres Insalubres.... Parce que franchement, dites moi, écrire de telles inepties, ce n'est pas l'âme du PS, n'est-ce pas? Et même si (horresco referens!), même si, vous ne croyez pas qu'à l'approche des élections .... Non, vraiment? Bon, si vous le dites, alors ....