étaleuse de peinture, cogneuse de clavier, en cavale par nature mon site peinture : www.afont-tableaux.fr
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Les yeux du poète rase la merMais les sardines en boite boivent pas malLa voix humaine est celle qui appelleLe silence toujours présentAbonnée en psychiatrieOn pourrait rêver de passage prioritaireLasL’ambulance toujours au garageJ’avale de l’encreMalade par habitudeOu fou par manque de logiqueC’est blanc et forcement rigoureuxMais pas tant que çaLe chant des baleinesLe chant des sirenesDes ambulances qui trop tard toujours arriventAu cœur de la routineCe sont toujours les mêmes cœurs que l’on assassineDeboutMarcherPeut être encore un peuJe vous le disVous allez encore très bienJusqu'à minuit moins le quartA minuit les ambulances se changent en citrouilleMais ce n’est pas graveLe loup garou est libreDans une nuit surtout hors luneLes loups, les pauvres loupsAux yeux dorésNe savent qu’hurlerDes mots animauxDans un monde d’hommesComme les fousLes pauvres fousNe savent que saignerDans un monde d’hommesLa voix humaineEst celleQui parle aux silencesAux creux des coquillagesEt quant j’appelleUne porcelaineCocteauPasse la tourEn fumantUne incroyablePipe d’opium obsidienneLes fous, les pauvres fousOnt toujours pour drapsLeurs rêves d’or, Et
de néant forcement technicolors.
résumé :
c'est fou le temps que l'on perd en formalités....
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