Cher canard, oui, toi mon journal que j'aime !
Ne crois-tu pas qu'il serait urgent que tu nous répondes enfin sur la question que te pose, plutôt gentiment je trouve, nombre d'abonnés qui ont été choqués par les derniers coups de ciseaux intempestifs et incompréhensibles de la modération.
Un sacré paquet de gens biens sont en train de faire leurs valises et si tu ne réponds pas, il me semble que je vais monter avec eux dans le charter. La dernière fois que cela c'est produit, j'ai résisté, les traitant de lâcheurs et me suis retrouvé fort triste dans un club devenu bien morne. L'humour y avait totalement disparu. C'était déjà pour les mêmes raisons que tu connais fort bien (je ne vais donc pas te les rappeler) activé par les mêmes troublions que je soupçonne d'ailleurs d'être les mêmes, revenus sous des identités différentes. Les fouteurs de merde (appelons les choses par leur nom, un chat est un chat !) ne cherchent qu'à détruire ce club, c'est certain, c'est leur but. Les mêmes arguments et insultes sont récurant. Les thèmes toujours les mêmes.
Moi, je l'aime ce club, je m'y suis fait de belles amitiés, fort peu d'inimités. Il fait d'autant plus partie de ma vie, qu'il me l'a carrément sauvé par sa solidarité indéfectible. Je serais fort triste de le quitter. C'est une belle expérience participative de qualité, que je n'ai trouvé nulle part ailleurs sur la toile, il me serais douloureux qu'elle capote. J'y ai appris un tas de chose, trouvé une véritable éducation populaire partagée, j'y ai grandit, trouvé des forces.
Oh ! c'est sûr que ce n'est pas une douzaine de participants qui partiront qui fera que cette expérience finira, je n'ai pas cette prétention. Mais si vous le lisez régulièrement, ce dont je ne doute pas, avouez quand même que ce serais dommage et assez lamentable d'avoir eu l’orgueil de ne simplement pas avoir voulu répondre, vous mouiller, enfin !
D'autant qu'avec ou sans nous, le problème réapparaîtra régulièrement. Car ce n'est pas nous la cible de ces attaques, c'est vous ! Ce que vous avez tenté comme expérience et que par ce qu'il génère d'innovation, il faut le détruire.
Alors si nous sommes vraiment sur du participatif, à toi la parole, ma chère rédaction adorée.