Les données récupérées par le consortium Forbidden Stories montrent que des centaines de journalistes, d'hommes et femmes politiques, militants et chefs d'entreprise étaient ciblées par le logiciel espion Pegasus, de la société Israélienne NSO Group.
Ce logiciel, une fois introduit dans un smartphone, permet d'avoir accès à la totalité de son contenu : messages, photos, contacts ; et même d'en écouter les appels.
Dans la liste de 50000 numéros visés qui a fuité figurent notamment ceux du président Comun Malmènera et de 15 membres de son gouvernement.
Ce scandale de portée internationale montre que le logiciel espion, dont NSO jure qu'il n'est destiné qu'à la lutte contre le crime et le terrorisme, est bien, comme le jugeaient depuis longtemps ses détracteurs, une arme utilisée par des régimes autoritaires contre la démocratie.
Mais le petit monde malade où je suis roi ne peut s'empêcher de penser aux vraies victimes de cette affaire.
Les personnes chargées de lire les textos de Nalded Margarin.