. Il a fêté hier sa victoire aux Invalides puis est parti se reposer sur le Yacht de son ami Vincent Bolloré.
Mais la campagne présidentielle a bien débuté le 30 septembre 2021, le soir de la primaire d’EELV. Un Yannick Jadot triomphant rassemblait après sa victoire une large partie des écologistes de Benoit Hamon à Corinne Lepage en passant par Génération Ecologie de Delphine Batho...Immédiatement, Olivier Faure annonçait une alliance EELV/ PS. Une vague verte, comme celle des municipales 2020 semblait promise. Jean Luc Mélenchon peinait à convaincre, miné par les divisions et animosités (8,6 % en décembre). La semaine suivante, un attentat sanglant obligeait le gouvernement à interdire meeting et rassemblement durant la campagne.
Vainqueur des primaires des Républicains, Eric Zemmour tendait la main aux électeurs du Rassemblement National. Les deux campagnes se télescopaient, stagnant autour des 20 %. Jean Pierre Chevènement, Nicolas Dupont Aignan, François Asselineau, Florian Philippot, Philippe De Villiers... ralliaient la candidature du polémiste avec le Frexit ( et son slogan : Frexit, Frexit, Frexit) comme horizon.
Emmanuel Macron, quant à lui, obtenait 22 % des suffrages, « ce qui est bien mais pas top » selon sa porte- parole Ségolène Royal. Le 24 décembre, l’attentat des Galeries Lafayette où un jihadiste se jetait sur une vitrine, faisant tomber un foulard Dior, avait ému l’opinion. Les côtes de popularité d’Emmanuel Macron augmentaient ainsi à 24 %, celle de Marine Le Pen à 23 %, Zemmour 22 % tandis celle de Jadot et Mélenchon chutaient de 3 %.
Mais le tournant de cette campagne arrivait au milieu de l’hiver…
Le 27 février, un violent incendie embrasa l’Assemblée Nationale. Tout de suite, l’enquête s’est tournée vers Omar, homme de ménage à l’Assemblée. Une inscription « Omar m’a brûlé » gravée sur un fauteuil l’accusait indubitablement. En effet, celui- ci habiterait non loin d’un lieu où une personne aurait dit « qu’il y a du racisme en France ».
De nombreux groupuscules se rassemblèrent dans toute la France, et notamment place de la Concorde. Une centaine de « complices ethniques et religieux » d’Omar furent ainsi noyés dans la Seine, seulement 59 selon la police qui eu du mal à se prononcer sur le nombre exact de victime..
Dans la nuit, Jean Luc Mélenchon fut arrêté (non sans résistance comme le montre son facebook live), ainsi que Yannick Jadot (décidément l’élection présidentielle n’est pas faite pour EELV). Edwy Plenel fut tiré par la moustache à travers tout Paris. Le processus électoral pouvait ainsi reprendre, la démocratie était sauvée.
A gauche, après une candidature Naulleau envisagée, c’est Michel Onfray qui se portait candidat et défendait une gauche maurrassienne de gauche. Faute de moyen, il ne put faire réellement campagne : Point d’affiche, ni de déplacements trop coûteux. Ironie de l’histoire, sa revue « Front Populaire » pris position pour Zemmour, tout comme Le Point, Marianne et de nombreux youtubeurs de gauche... La veille du premier tour, il appela à faire barrage à Emmanuel Macron.
Marine Le Pen et Eric Zemmour s’associèrent pour défendre la patrie et se qualifièrent (30%) face à Emmanuel Macron (26%).
La profanation de l’Eglise Saint Bonnet en Auvergne fit basculer le débat d’entre deux tours. Probablement faite par un islamiste, l’inscription « Le curé m’a sucé », trouvée gravée dans l’isoloir de l’édifice, achevait les espoirs d’Emmanuel Macron pendant le débat. Eric Zemmour, regrettant que nous « n’ayons pas une religion pour laquelle on meurt pour elle », Macron s’en excusait.
- Vasectomie et ligature des trompes pour toute personne étrangère ou issue d’un pays dont le PIB est inférieur à 200 milliards de dollars,
- Fermeture des frontières (sauf pour le tourisme aux Maldives et ceux dont le PIB est supérieur à 200 mds de dollars),
- Grand remplacement d’Albert Camus par Renaud Camus,
- Création des « voitures électriques du peuple »…
Un programme détaillé dans le livre d’Eric Zemmour « Mon destin français » écrit du fond de sa loge France 2. Sa première décision fut de dissoudre les médias révélant que l’incendie de l’Assemblée Nationale avait été déclenché sous le siège du député Sébastien Chenu.
Le nouveau président parlera, chaque soir, au peuple sur la chaîne Cnews, comme il le fait déjà depuis deux ans, pour dénoncer, courageusement, la Charia en Iran et défendre le droit des femmes au foyer...